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Ecolo
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du 01 Mai au 30 Juin | 820 € | 1390 € |
du 01 Juillet au 31 Août | 890 € | 1490 € |
du 01 Septembre au 30 Septembre | 850 € | 1450 € |
du 01 Octobre au 31 Octobre | 790 € | 1340 € |
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L'enceinte de la cité antique est parmi les constructions les plus massives, effectuées durant les premières siècles de l'époque romaine. Achevées entre 176-180, durant le règne des empereurs Marc Aurèle et Commode, elle n'est détruite qu'au XVe siècle, durant l'invasion ottomane.
La surface entre les murs de la citadelle grandissante s'avère rapidement insuffisante. C'est pourquoi, beaucoup de bâtiments, principalement des lieux de culte, sont construits en dehors de la cité fortifiée qui entoure un espace de 164 000 m². La forme de la cité ne respecte pas la norme rectangulaire des villes romaines, certainement en raison de la structure de la ville Thrace déjà existante sur place.
La première muraille est construite de briques sur une fondation de pierre haute de 2 m. La hauteur du mur est de 8-9 m avec une épaisseur de 2,2 m. A 50-60 de distance sont érigées des tours défensives qui se dressent à 2-3 m au-dessus du mur.
Les restes de ce mur sont couverts par la nouvelle muraille qui vient la remplacer au IVè s. Pour sa construction, sont utilisées successivement des parties en pierres et en briques sur 4 lignes (opus mixtum). La nouvelle muraille suit les formes de l'ancienne, la renforçant même par l'ajout d‘escaliers qui viennent augmenter l'épaisseur des murs. Par endroits, sont ajoutées également dans les murs, des sorties cachées (poternae).
Durant le règne de l'empereur Justinien (527-566), est effectué un renforcement de l'enceinte existante. Elle est enveloppée de l'extérieur par une nouvelle plus haute et épaisse de 1,8 m. Des tours triangulaires sont rajoutées entre les tours déjà existantes et les tours qui dominent les 3 entrées principales deviennent pentagonales. Un mur défensif de 2 m distancé de 20 m de l'enceinte est rajouté également.
Une partie de ce mur, avec 2 tours triangulaires marquant la porte Est de la ville antique sont découverts sous le Boulevard Al. Dondoukov.
Ces vestiges sont exposés dans le passage souterrain entre le bâtiment de la Présidence et celui du Conseil des Ministres. Les travaux de restauration ont été effectués dans la période 1997-1999 pour permettre aux visiteurs de la capitale d‘observer les vestiges enfouis de son grand passé.
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Vous reviendrez en arrière, passerez à côté de l'église Ste. Nedelya, puis le Palais de Justice, pour parvenir au boulevard Vitosha, souvent appelé simplement Vitoshka. C'est la principale rue commerçante dans le centre de Sofia. Le boulevard est fermé à la circulation, ce qui en fait un lieu agréable de balades.
On y retrouve de nombreux cafés, restaurants, bars offrant une vue incroyable sur la montagne de Vitosha et bien sûr des boutiques.
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Vous pouvez commencer le tour pédestre dans le centre-ville depuis le Forum antique de Plovdiv qui, occupait une place centrale dans la vie locale. Il dictait la vie politique, économique et sociale de la ville. Construit vers la fin du I siècle, il est le plus grand sur le territoire de la Bulgarie. Dans la partie Nord du Forum se trouve l‘odéon antique. Il comptait de 300 à 350 places et a servi de siège au Conseil de la ville. Aujourd‘hui, il est utilisé pour des représentations musicales, théâtrales et littéraires.
Le centre de Plovdiv actuel, n‘a pas changé par rapport au centre antique. Nous observons un exemple de continuité où le passé occupe une place importante dans le présent.
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En face des vestiges du stade antique, est située le temple musulman la mosquée Dzhumaya. La mosquée est construite peu après la conquête de la ville par les ottomans (1363-1364), à la place de la cathédrale Sveta Petka Tarnovska. Durant le règne du Sultan Murad II, la mosquée a été entièrement reconstruite pour lui donner son aspect actuel.
Son édifice représente un bâtiment rectangulaire dont le salon de prières est aux dimensions de 33 sur 27 mètres. Les neuf coupoles du temple sont couvertes de feuilles en plomb. Dans le coin nord-est de la façade, s’élève un minaret décoré de briques rouges. L’intérieur de la mosquée est rempli d’une riche ornementation végétale qui représente des ramilles, des fleurs et des guirlandes comme des citations du Coran. Les peintures murales datent probablement de la fin du XVIIIème et le début de XIXème siècle.
Aujourd’hui, la mosquée Dzhoumaya est un temple actif, fréquenté non seulement par les croyants, mais aussi par les visiteurs de la ville. Il est le témoin de la tolérance religieuse nationale et le respect des autres cultures.
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Vous êtes au cœur de la Vallée des Roses, appelée ainsi car la production d'huile de rose est l'une des spécialités du pays, c'est d’ailleurs le premier producteur mondial.
Le secret de la haute qualité de la rose bulgare vient des années de développement et de production qui ont permis d'acquérir un art nulle part égalé, un terroir et un climat très favorable. Les roses élevées sont de la famille Damascena. L'huile de rose est appelée le "liquide d'or" de la Bulgarie, car c'est un produit très cher utilisé par de nombreuses marques réputées de parfum, chocolat, liqueur et confiture. L'huile de rose est trois fois plus chère que l'or. Un litre d'huile de rose est extrait de 3 000 kilogrammes de rose. Toutes les fleurs sont cueillies à la main et conservées précieusement pour la distillation.
La cueillette des roses a lieu en général au mois de mai. Commence tôt le matin, quand la rosée est toujours dans les roses. En effet, la rosée conserve l'huile de rose et son importance est primordiale pour l'extraction de l‘huile de rose de la plante.
L'huile de rose bulgare est d‘une grande qualité grâce à la technologique utilisée pour sa production – la méthode de la double distillation accompagnée d'un refroidissement intermédiaire. La méthode permet de tripler la production d‘huile de rose d‘eau de rose.
De nos jours, grâce à sa haute qualité, l'huile de rose bulgare fait partie des huiles essentielles préférées des parfumeries françaises.
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Dans la ville de Kazanlak, véritable conservatoire de la civilisation Thrace, a été mis à jour le premier tombeau royal de cette époque. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, il permet de découvrir ce peuple méconnu, qui fût en son temps le plus puissant de l’Europe et du bassin méditerranéen bien avant les Romains.
Les fresques de la coupole de la tombe sont les mieux conservées de tout ce qu'on a pu mettre à jour en Bulgarie et en Europe en rapport avec la culture des Thraces et leur art.
Dans le couloir est peinte une scène de bataille et dans la chambre mortuaire est représentée la scène de la cène d'adieu au noble roi décédé, figurent également 3 chars à chevaux au galop. Ces fresques témoignent des croyances des Thraces et notamment dans l'existence de la vie d'au-delà.
Encore dans la pièce principale, on peut admirer des scènes représentant le décédé de son vivant, héroïsé, avec son épouse, en train de participer à une cène funèbre.
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Au centre-ville, sur la rue principale se trouve un joli bâtiment a trois étages – le Musée régional d’histoire. On y découvre toute l’histoire de Sliven. Un intérêt particulier représentent les objets exposés de l’époque Trace qui avaient habité la région pendant l’Antiquité. Dans le musée on peut voir des bijoux d’or, des amphores, des rithons d’argent et d’autres pièces de très haute valeur artistique et scientifique. Les objets les plus précieux sont: un masque funèbre d’or, un anneau-sceau d’or, des phiales à vin et d’autres objets découverts dans les sépultures traces des evirons de Sliven.
Faites un tour du village de Zheravna pour apprécier son architecture, comme celle, par exemple, de la maison-musée de Roussi Tchorbadji qui est une des plus anciennes au village de Zheravna. Epargnée par le temps et les attaques des kardjalii (bandits ottomans), elle a été construite à l‘époque pour le compte d‘un riche commerçant du village. Sa fortune personnelle s‘élevait à plus de 30 000 animaux et plusieurs magasins. Des légendes locales augmentent l‘intérêt pour cette demeure qui ne se différencie absolument pas par son extérieur des autres maisons du village. C'était sans doute l'objectif recherché pour éviter d‘attirer l‘attention de personnes mal intentionnées.
La décoration de l‘intérieur est bien plus riche et travaillée avec une attention particulière même sur les petits détails. Aujourd‘hui, la maison accueille au rez-de-chaussée, des expositions retraçant les différents métiers de l'époque de l‘Eveil national. Des outils utilisés dans les métiers à tisser sont également exposés, tout comme des tissus. La maison-musée permet de remonter le temps et l’histoire du village par les métiers typiques du village.
Au second étage, la maison accueille une exposition ethnographique qui illustre le cadre de vie des riches familles du village de l’époque de l’Eveil national. La cour de la maison, fleurie et bien entretenue, complète cet ensemble architectural vieux de plus de 300 ans.
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Vous traverserez le massif du Balkan. Une visite incontournable est à prévoir, qui fait partie de l'Histoire Bulgare. A quelques kilomètres de Shoumen, vous découvrirez le Cavalier de Madara.
Bas relief taillé dans la pierre à 23 m du sol, premier symbole protobulgare, représentant un cavalier et son chien vainqueur d’un lion qui représente Byzance. Les inscriptions qui y figurent témoignent des évènements survenus entre 705 et 831, notamment les nombreuses guerres avec Byzance et les Traités qui en ont résultés.
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Dans une petite vallée pittoresque à l’Est du Balkan, Kotel jouit d’une nature sauvage. C’est également un foyer historico-culturel, une vraie citadelle de l’âme bulgare. Un grand nombre de révolutionnaires et d’artistes ont vécu ici et laissé une trace indélébile du caractère combattif des bulgares. Dans l’ancien quartier Galata, on perpétue toujours l’art des tapis et des kilims. Les nombreux villages qui l’entourent complètent cet ensemble ethnographique.
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La maison sculptée du xylographe Marin Krastev, se trouve dans le village de Malak Popovets, non loin de la ville d'Isperih. Marin Krastev est un artisan autodidacte. Il commence le travail de décoration de sa maison après la retraite, travail qui a duré 13 ans.
Chaque habitation de la maison est décorée entièrement de sculptures sur bois. La main du maître a laissé sa trace sur chaque objet de la maison - meubles, murs et plafonds. Chaque habitation a été nommée ce qui prouve l‘attention, le soin et l‘amour qu‘il a porté à ses oeuvres: la salle du Trône, la salle Arabe, la salle Blanche et l'autel Familial.
Une maison-musée unique, à deux pas du Tombeau Demir Baba Teke et de la Tombe de Svechtari, qui vous les portes du monde magiques d‘un maître-artisan autodidacte qui a fait preuve d‘une imagination et forte volonté à accomplir cet oeuvre. Visité conseillée.
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La traversée des Carpates se fera par la vallée de la Prahova qui relie Bucarest à Brasov. Pour vous y rendre, prenez tout d'abord l'autoroute A3 au nord-est de Bucarest et poursuivez jusqu'à Campina à l'entrée de la vallée.
La vallée de Prahova est le point de départ pour les randonnées dans les hautes Carpates. Les stations de montagne les plus importantes sont Busteni, Predeal (1 035 m) Azuga et Sinaia. Cette vallée relie les villes de Ploiesti au sud à Brasov au nord par le col de Predeal. Avant 1918, année où la Transylvanie devint un territoire roumain, la vallée de la Prahova était située à l'extrême nord de la Valachie puisque la frontière se trouvait alors aux abords de Predeal.
La vallée est ainsi considérée, au même titre que la vallée de l'Olt, comme une porte d'entrée vers la Transylvanie et ses paysages vallonnés.
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Vous arriverez ensuite à Sinaia qui sera votre première étape en Roumanie.
Sinaia est une des principales stations touristiques de la vallée de la Prahova. Cette ville installée au pied des Monts Bucegi est attractive été comme hiver en raison de ses installations de sports d'hiver et de la richesse de son patrimoine culturel.
Située à une altitude de 880m, la ville doit son existence et sa reconnaissance au roi Carol I de Roumanie qui y fit construire sa résidence d'été, le Château Peles. La ville a conservé, dans les quartiers les plus en hauteurs, son charme d'antant avec nottament de nombreuses maisons d'influence saxonne.
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En contre-bas du château, vous découvrirez le Monastère de Sinaia dont l'architecture est typique de la Valachie.
Le Monastère de Sinaia fut construit par le noble Mihail Cantacuzino entre 1690 et 1695, après qu'il se soit rendu au Mont Sinaï, c'est d'ailleurs ce qui a inspiré le nom de la ville.
Ce monastère a longtemps eu une rôle de défense de l'axe commercial de la vallée de la Prahova et de refuge pour les voyageurs dans le besoin.
Dans l'enceinte du monastère, vous retrouverez deux églises (Biserica Mare et Biserica Mica), le musée du monastère ainsi que le tombeau de Take Ionescu, un homme politique roumain du début du 20ème siècle.
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A partir de Sinaia, vous vous trouvez au pied des Monts Bucegi dont les cimes dépassent les 2 500 mètres.
Le Parc Naturel des Monts Bucegi est une zone naturelle protégée de la région des Carpates méridionnales. Situé sur l'axe entre Brasov et Bucarest, c'est le terrain de jeu favori des randonneurs, skieurs et alpinistes de la région.
Les Monts Bucegi se situent entre les vallées de Prahova (à l'est) et Ialomita (au sud) et entre la dépression de la Barsa au nord et la plaine de Munténie au sud. La grande diversité des roches offrent aux visiteurs des formes naturelles exceptionnelles telles les grottes de la Ialomita et de la Rata, les gorges des Ours et du Tatare, la Cascade Hurleuse ou encore le Sphinx des Bucegi.
L'activité touristique dans les Monts Bucegi se concentre autour des sports d'hiver, de la randonnée pédestre et des visites culturelles dans les localités de Sinaia, Busteni ou Bran, de l'autre côté du massif. De nombreux tracés de randonnées peuvent être organisés pour des circuits à la journée ou de 2/3 jours.
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Plus loin dans la vallée se trouve Busteni qui possède elle aussi un grand patrimoine culturel et naturel!
La petite ville de Busteni se trouve au cœur des Carpates méridionales, dans la très touristique Vallée de la Prahova.
C'est au pied des Monts Bucegi et sur la route allant de Bucarest à Brasov que se découvre la petite ville de montagne de Busteni. La localité tire depuis plusieurs années la majeure partie de ses revenus de son activité touristique. Le domaine skiable de la ville est en effet l'un des plus étendus des Carpates, le tout à proximité de Bucarest et de Brasov. Mais le tourisme estival y est aussi très développé, Busteni est un très bon point de départ pour des randonnées dans les Bucegi à la découverte de la Cascade Urlatoare, du Sphynx des Bucegi ou du Mont Omul, accessibles à pied ou en téléphérique.
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Après avoir emprunté une vallée partant sur la gauche à hauteur de Azuga, vous atteindrez Rasnov, une ancienne cité médiévale.
Râșnov est une commune du département de Brașov située au sud-est du département à proximité des massifs Postăvaru, Bucegi et Piatra Craiului. Ce territoire, après avoir été habité de Daces il y a plus de 2000 ans, a ensuite été habité par des saxons qui lui ont attribué le nom de ''Rosnov''. Interprété par les locaux comme la traduction de ''trandafiri'' (''rose'' en roumain), cette fleure est devenue le symbole de la ville.
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Voici l'un des points forts de votre séjour balkanique: le Château de Dracula, source de nombreux fantasmes.
Le château de Bran, situé sur la commune du même nom, est souvent évoqué sous le nom de ''Château de Dracula''. A la limite entre la Valachie et la Transylvanie, au cœur d'un paysage splendide entre les montagnes de Bucegi et de Piatra Craiului, le Château de Bran est installé sur un promontoire dominant le bourg touristique.
A l'origine cet édifice fut construit par les chevaliers Teutoniques au 13ème siècle dans le but de contrôler et de taxer le traffic commercial de la vallée. Ce château construit en bois sera remplacé un siècle plus tard par une forteresse de pierres par le roi Louis 1er de Hongrie. Plusieurs modifications architecturales seront ensuite apportées au château (nottament en raison d'une explosion) jusqu'en 1699 où il revint à la famille des Hasbourgs, princes de Transylvanie. Durant la période 1918-2006 le propriété du château oscillera entre la famille royale, l'état communiste (qui ouvra le château aux visiteurs) et l'Etat roumain avant qu'il ne soit finalement rendu à la famille des Hasbourgs qui en est encore aujourd'hui propriétaire.
La visite du château de Bran fait partie des visites incontournables dans la région puisque ce Château est rattaché à la légende de Vlad Țepeș l'Empaleur dit Dracula. N'oublions pas que le nom de ''Château de Dracula'' n'est pas réellement fondé. En effet, Bram Stoker, l'auteur de ''Dracula'' se serait inspiré du personnage de Vlad Țepeș, en raison de sa cruauté, pour son roman. En revanche, aucun document n'atteste de la venue de ce dernier au château de Bran, certaines sources évoquent qu'ils s'y serait arrêté lors d'un voyage entre la Transylvanie et la Valachie voire qu'il y aurait été emprisonné.
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Vous pouvez profiter de votre passage à Rasnov pour découvrir les profondeurs du territoire roumain!
Le sol calcaire roumain offre aujourd’hui des reliefs et des formes karstiques particulièrement intéressantes. Les spéléologues du pays estiment que le nombre de grottes en Roumanie serait de 12 000.
La grotte de la vallée de la citadelle, aussi appelée grotte Fundata, est l’un des meilleurs exemples de valorisation de grottes en Roumanie. Découverte en 1949 suite à une explosion hydraulique, cette cavité se situe à près de 800m d’altitude et s’étend sur une longueur de plus de 900m dans la montagne. Depuis 2000 le site ainsi que ses environs ont été classés en ‘’Zone naturelle protégée’’ avant d’être ouvert au public en 2011.
Au cœur de la grotte on peut observer les stalactites et stalagmites qui atteignent jusqu’à 2m de hauteur.
Moins connu que son voisin Peles, le Château Cantacuzino offre une très belle visite.
Le Château Cantacuzino de Busteni se trouve dans la vallée de la Prahova, c'est un des principaux édifices de la région.
C'est Gheorghe Grigore Cantacuzino, un homme politique roumain ayant exercé les fonctions de maire de Bucarest et de premier ministre au tournant des XIXème et XXème siècles, qui décida de la construction du Château de Busteni. Cet édifice particulièrement imposant se trouve dans un parc très bien aménagé, l'ensemble des plans ont d'ailleurs été réalisés par l'architecte Grigore Cerchez.
Les principales attractions de la visite sont les escaliers en marbre et en bois, le salon principal, et, dans le parc, plusieurs grottes et fontaines.
Voici l'occasion de réaliser une jolie promenade en forêt qui vous amènera à cette bruyante cascade!
La Cascade Hurleuse de Busteni, de son nom local ''Cascada Urlatoare'' est une très belle chute d'eau dans les Monts Bucegi. C'est l'occasion d'une belle promenade dans la nature surplombant la vallée de la Prahova.
Le nom plutôt original de cette cascade provient évidemment du bruit qu'elle provoque. La chute d'eau a une hauteur de 15 mètres et un fort débit, surtout en période de fonte des neiges, elle est ainsi repérable de loin par les promeneurs!
La journée commencera fort avec la visite du château de Dracula!
Vous arrivez à Brasov où vous pourrez déjeuner et visiter le centre-ville avant de prendre la direction des citadelles saxonnes et de Sighisoara.
Braşov est une des principales villes de Transylvanie et de Roumanie avec près de 280 000 habitants. Comme de nombreuses villes de Transylvanie elle porte un nom officiel roumain, mais aussi des noms hongrois (Brasso) et allemand (Kronstadt) qui illustrent ses origines saxonnes.
Braşov possède le statut de préfecture du département homonyme et est située dans le creux d’une dépression au cœur des montagnes des Carpates. La région de Brașov est aussi appelée ''Țara Bârsei'' ou 'Terre du berceau''. A proximité se trouvent les principaux sites d’activités de montagne du pays que sont les Monts Bucegi, Piatra Craiului ou encore les Monts Fagaras.
Les traces de présence humaine dans le bassin de Brasov remontent au néolithique et attestent de la présence, plusieurs siècles plus tard, de daces dans la région. Malheureusement, les découvertes ont été en grande partie détruites par le pouvoir communiste au cours de son demi-siècle au pouvoir en Roumanie. Construit à partir de divers villages, devenus aujourd’hui des quartiers de la ville, Brasov trouve son essor au cours du 16ème siècle grâce à sa situation géographique aux confins de la Valachie et de la Moldavie et à une situation fiscale avantageuse.
Suite au rattachement de la Transylvanie à la Roumanie, la seconde guerre mondiale laisse place au régime communiste. Brasov, ville fondamentalement protestataire, change de nom le 8 septembre 1950 et devient ‘Orasul Stalin’, la ville de Staline, au cours du processus de soviétisation de la Roumanie. Le pouvoir communiste va même jusqu’à installer sur la colline dominant la ville l’inscription ‘STALIN’ en lettres géantes. Sept après la mort du leader géorgien, en 1960, Brasov retrouvera son identité et c’est désormais son nom roumain que l’on retrouve sur la colline Tâmpa.
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Rendez-vous au bout de la place du Conseil pour découvrir l'Eglise Noire, un édifice ayant changé de nom suite à un incendie.
Construite entre 1383 et 1477 dans un contexte de développement économique et culturel de la ville mais aussi de tensions avec l’empire ottoman qui conduisirent à l’invasion de la ville en 1421, l’édification de l’église fut particulièrement longue. Un tremblement de terre au cours de l’année 1471 retardant encore la finalisation du monument.
Celui-ci fut une nouvelle fois endommagé durant l’année 1689 en raison d’un incendie criminel attribué à l’armée autrichienne et à son général Caraffa. Celui-ci aurait menacé dans une lettre de réduire Brasov en cendre si les habitants s’opposaient à l’installation des troupes autrichiennes dans la région. L’incendie détruisit la majeure partie de la ville mais ne fit qu’endommager l’église qui fut noircie par les flammes. Le nouveau nom de cette dernière fut alors tout trouvé.
D’un point de vue esthétique, si les différents épisodes belliqueux et les rénovations ont fait perdre à l’église une partie de son caractère gothique, l’aspect général et les ornements de l’église restent remarquables.
Plusieurs éléments sont à mettre en valeur. L’orgue, construit entre 1836 et 1839 par un producteur berlinois, compte plus de 400 tubes et est reconnu pour sa sonorité, il est d’ailleurs l’un des plus grands du sud-est de l’Europe. De même, la collection de tapis d’Anatolie suspendus dans l’église, retiendra certainement votre attention.
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Classée monument UNESCO en 1999, l' Eglise de Prejmer est un élément marquant de la région de Brașov. C'est au 13ème siècle, lorsque le roi d'Hongrie Andrei II céda le territoire de l'actuel Prejmer aux chevaliers de l'ordre teutonique, que démarra la construction de l'église aujourd'hui au cœur des murs de la citadelle, construits, eux, par les habitants saxons.
La citadelle-église médiévale de Prejmer a été, comme la plupart des monuments de la région, de nombreuses fois endommagée en raison des différentes invasions et des tremblements de terre ayant frappé la région jusqu'à notre ère. Malgré tout, elle est considérée comme l'une des mieux conservées et des plus résistantes de l'est de l'Europe. Ses murs épais de 3 à 4m et hauts de 12m lui ont en effet permis de résister à diverses invasions venues de l'est.
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Entre Brasov et Sighisoara, vous ferez un arrêt à Rupea dont la forteresse a été récemment rénovée.
La forteresse de Rupea est un nouvel exemple de citadelle saxonne de Transylvanie. Elle se situe dans la commune de Rupea, sur l'axe routier Brasov- Sighisoara.
Le site de cette forteresse est connu en Roumanie comme étant l'un des plus vieux lieux habités dans le pays: les premières traces de présence humaine datent de - 5 500 av JC. Ce n'est évidemment que bien plus tard, au XIVème siècle, que cette forteresse fut édifiée par les communautés locales. Elle fut utilisée durant l'époque médiévale par les habitants du village et des hameaux alentours pour se réfugier lorsque des envahisseurs venaient piller les villages de Transylvanie. Aux alentours du XVème siècle, l'économie se développe dans la forteresse si bien qu'elle devient un important centre commercial et artisanal en Transylvanie méridionale.
La forteresse résista difficilement aux effets du temps au fil des siècles. Le pouvoir communiste souhaita d'ailleurs la détruire définitivement pour récupérer le basalte qui servit à sa construction plusieurs siècles plus tôt. Les habitants resistèrent et la forteresse resta en ruine jusqu'aux années 2010 où des travaux de restauration furent entrepris.
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En fin d'après-midi, vous arriverez finalement à Sighisoara, une splendide cité médiévale où vous passerez la nuit.
C'est la plus belle cité médiévale de Roumanie qui s’élève au sommet d’une colline boisée. Le coeur de la ville, où se situe par exemple ''l'église de la colline'' est classé au patrimoine mondiale de l'Unesco depuis 1999. Fondée par les Saxons de Transylvanie au bord de la rivière ''Târnava mare'' au cours du 12ème siècle, la ville actuelle a été installée sur le site d'un ancien castrum romain.
Courant le long des fortifications, neuf tours au toit pointu montent encore la garde. La plus grande est la fameuse Tour de l’Horloge (Turnul cu Ceas) haute de 64 m à voir absolument. Le conseil de la ville se tenait jusqu’en 1556 dans cette tour qui abrite aujourd’hui le musée d’Histoire.
Non loin de là, à l’angle de la rue Cositorarilor, se trouve la maison où serait né Vlad Tepes (Dracula) en 1431.
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Au cœur du centre historique, l’Eglise Saint Nicolas a été fondée par Neagoe Basarab, prince de Valachie de 1512 à 1521, grâce à l’aide de différents voïvodes du territoire roumain (Vlad Călugărul, Mihai Viteazul par exemple). Construite à partir de 1495, le quartier de l’Eglise Saint Nicolas est rapidement devenu un important centre culturel et spirituel pour les roumains de la ‘’Țara Bârsei” du fait de sa proximité avec l’école roumaine du quartier.
Cette église, initialement construite en style gothique, a subi des influences baroques au cours des transformations intervenues au 18ème siècle qui lui donnent son aspect actuel. A cette époque, de remarquables peintures murales ont été réalisées et constituent un des principaux points d’intérêts de l’église.
Dans la cour de l’Eglise Saint-Nicolas, dans le quartier Șcheii, se trouve le musée de la première école en langue roumaine de Brașov. Si ce fait peut sembler naturel puisque cette école se trouve en Roumanie, rappelons que le territoire de Transylvanie, et donc de Brașov ne faisait pas partie de la Transylvanie jusqu’en 1918.
Construite en 1495, tout comme l’église Saint-Nicolas, l’école a accueilli ses premiers cours en 1583. Le bâtiment actuel date en revanche de 1760 à l’intérieur de celui-ci le musée propose la visite des différentes salles de classe ainsi que la consultation d’une collection de livres et documents d’époque.