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Vieux Bazar de Skopje
Hammam Cift de Skopje
Cette première journée se concentrera sur la découverte de Skopje la capitale de la Macédoine.
Skopje est la capitale de la Macédoine ainsi que le centre politique, administratif, culturel et économique du pays.
C'est au premier siècle après JC que naît réellement Scupi, l'ancienne Skopje, une colonie romaine rattachée à l'Empire Romain d'Orient. Au carrefour d'axes de communication majeurs des Balkans, Skopje est une ville multiculturelle aux influences macédoniennes, albanaises, byzantines et serbes qui font sa richesse. Situé à l'extrême nord du territoire macédonien, le paysage urbain de cette ville de près de 700 000 habitants tranche avec la forte ruralité dans le reste du pays. L'architecture de la capitale est un réel chantier, on y trouve des immeubles du XIXème siècle ayant survécu au tremblement de terre de 1963, une foule de bâtiments ultra-modernes et, depuis les années 2000, une concentration incroyable de statues glorifiant l'histoire macédonienne.
Le Vardar, principale rivière de Macédoine, scinde la ville en deux et délimite en de nombreux endroits les quartiers macédoniens des quartiers albanais ou tsiganes. Du fait des reliefs montagneux au nord et au sud de la capitale, celle-ci s'organise principalement le long de la rivière Vardar où la topographie du terrain est plus favorable à l'étalement urbain. Le Mont Vodno au sud de la ville, offre par ailleurs une vue splendide sur toute la vallée.
Votre visite de Skopje vous amènera à découvrir notamment la Croix du Millénaire, l'Eglise St Pantelimon, la forteresse Kale ou la Place Macedonia. Les alentours de la ville sont eux aussi très riches avec par exemple les Gorges de la Treska et le Monastère de Markov.
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Ce projet de musée est relativement innovant dans les Balkans et plus généralement en Europe de l'est.
Le Musée de l'holocauste des juifs de Macédoine commémore la disparition de plus de 7 000 juifs déportés au cours de la Seconde Guerre Mondiale.
Inclus dans le projet Skopje 2014, visant à embellir et à donner une identité nouvelle au centre-ville de Skopje, ce musée rend hommage à la population juive, aujourd'hui quasiment disparue du territoire macédonien. Ce mémorial inauguré en 2011 contient notamment les wagons d'un train de marchandises ayant servis au transport des juifs au camp de Treblinka. La visite incite à se souvenir des événements passés mais aussi à en tirer les leçons pour la Macédoine multi-culturelle contemporaine.
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En contrebas de la forteresse, vous atteindrez le Vieux Bazar, un lieu magique où vous pourrez réaliser quelques emplettes.
Le Vieux Bazar de Skopje est un ancien quartier de la capitale macédonienne. Il est l'un des seuls à avoir survécu au tremblement de terre de 1963.
Ce bazar est, à l'exception des bazars d'Istanbul, le plus grand de l'ensemble de la péninsule balkanique. Il se situe au nord de la rivière Vardar et au pied de la forteresse Kale. Ce quartier s'est tout d'abord développé au cours du XIIème siècle pour ensuite connaître un fort essort durant la période de domination ottomane entre le XIVème siècle et 1912. Depuis cette date, il s'est peu à peu occidentalisé et a abandonné une partie de son charme d'antan.
Le quartier du vieux bazar se caractérise aussi par la présence d'une importante population albanaise qui continue de faire vivre ses origines orientales.
C'est certainement le quartier le plus touristique de la ville, malgré tout il est encore possible d'y découvrir des ruelles ou boutiques typiques du quartier à l'écart de l'agitation des principales artères.
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Un peu à l'écart des principaux sites de visite, cette cathédrale impressionne par sa taille.
La Cathédrale Saint-Clément d'Ohrid est le lieu de culte le plus vaste de Macédoine.
Cet édifice est particulièrement récent, sa construction fut finalisée en 1990. Pourtant, il s'inscrit dans l'histoire des terres macédoniennes puisqu'il est dédié à Saint-Clément d'Ohrid, un moine bulgare devenu évêque de la région d'Ohrid et considéré comme le Saint-Patron de l'Eglise Orthodoxe Macédonienne. Cette cathédrale se caractérise aussi par sa forme singulière faite de lignes incurvées qui tranche avec l'architecture religieuse classique faite de formes rectangulaires.
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Vous commencerez cette journée par la visite de Scupi, l'ancienne Skopje.
L'ancienne ville de Scupi fut à partir du Ier siècle après JC une colonie romaine appelée ''Colonia Flavia Aelia Scupi''.
L'histoire de Scupi est aussi celle de Skopje. La ville tout d'abord créée par des ethnies locales, fut prise par les romains à une date que les archéologues estiment comme proche de la naissance de Jésus Christ. Après avoir été attaquée à des nombreuses reprises par des peuples de l'est, elle fut définitivement détruite par un tremblement de terre au VIème siècle après JC, ce qui contraignit les habitants à s'installer sur le site de l'actuelle Skopje.
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Le Monastère Saint-Nikola se trouve sur un promontoire au dessus de la rivière Treska à une vingtaine de kilomètres de Skopje.
La situation géographique de ce monastère offre une vue spectaculaire sur le lac Matka. Il aurait été construit durant le XVIIème siècle et connut de nombreuses dégradations au cours des siècles. L'accès au monastère se fait uniquement à pied en environ 1h depuis les rives du lac, les visiteurs apprécient d'autant plus la vue une fois cet effort terminé.
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Vous atteindrez ensuite ce monastère depuis les quartiers ouest de la capitale macédonienne en montant sur le Mont Vodno.
Le Monastère Saint-Panteleimon est un ancien lieu de culte orthodoxe datant du XIIème siècle. Il se situe sur le Mont Vodno, au sud de Skopje.
Bien qu'endommagé par un tremblement de terre au XVIème siècle, il recouvre des fresques particulièrement bien conservées. Ces dernières furent réalisées à l'époque médiévales, ce sont d'importants représentants de l'art byzantin dans les terres balkaniques. Les paysages environnants le monastère sont eux aussi un élément ayant donné au lieu sa notoriété.
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Si les monastères de la région skopiote vous ont plus, vous pouvez faire un détour jusqu'à ce monastère situé au sud du Mont Vodno
Le Monastère Markov est un important lieu de culte orthodoxe de la région de Skopje.
Construit à partir du XIVème siècle, avant l'invasion ottomane donc, ce monastère qui porte le nom du roi Marko Kraljevis est l'un des mieux conservés de la région. Il est composé de plusieurs bâtiments accueillant les activités religieuses des moines du monastère.
A votre sortie de Skopje vous prendrez l'autoroute en direction de l'est pour rejoindre la commune de Tetovo.
Tetovo est une ville de plus de 80 000 habitants située au nord-ouest du territoire macédonien.
Cette commune a la particularité d'être l'une des principales zones d'influences albanaises en Macédoine. Ici une grande partie de la population est musulmane et c'est ainsi tout naturellement que l'Arabati Baba Teke et la Mosquée peinte sont les lieux les plus visités de la ville.
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En poursuivant vers le sud vous atteindrez peu avant Rostushe le monastère de Saint-Jean Bigorski.
Le Monastère Saint-Jean Bigorski est un important lieu de culte orthodoxe situé dans le Parc National de Mavrovo.
Les premières fondations de ce monastère aurait été bâties au XIème siècle après JC. Détruit par les forces armées turques au XVIème siècle, il dut attendre 100 ans pour que sa reconstruction soit initiée. Au XIXème siècle, l'ensemble monastique est agrandi et enrichi par des sculptures sur bois qui constituent aujourd'hui le principal trésor du monastère.
Autour de l'église, dédiée à Saint Jean-Baptiste, se trouvent une salle pour les repas communs des moines, un vieux dortoir, un clocher et deux fontaines d'où coule l'eau pure des montagnes.
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Le Parc de Mavrovo accueille un nombre important de villages traditionnels, nous vous proposons ici d'en découvrir quelques-uns. Après cette dernière visite, vous rejoindrez Ohrid où vous passerez la nuit.
Le village de Rostushe dans les montagnes du Parc de Mavrovo est, tout comme les localités voisines, un exemple typique d'architecture de Macédoine.
Les villages de Rostushe, Bitushe, Velebrdo et Trebishte sont des petits bourgs accrochés aux flancs des montagnes, à quelques kilomètres du monastère Saint-Jean Bigorski. Dans les paysages verdoyants des montagnes de Mavrovo, ces villages sont les gardiens de la culture d'altitude macédonienne où turcs, macédoniens et albanais vivent en harmonie loin de toute agitation urbaine.
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Durant votre visite de la ville, le lac d'Ohrid sera omniprésent. Si vous souhaitez vous baignez, les petites criques au pied de la forteresse sont idéales.
Le Lac d'Ohrid est l'un des plus anciens lacs au monde conjointement avec les lacs Titicaca et Baïkal. C'est aussi la première destination balnéaire des macédonniens.
Le lac s'est formé il y a environ 4 millions d'années suite à un enfoncement du terrain du à une forte activité tectonique. Il a ensuite été rempli des eaux des montagnes environnantes ainsi que par des sources venant du lac Prespa à quelques kilomètres à l'est. Le Lac d'Ohrid marque la frontière entre la Macédoine (à l'est) et l'Albanie (à l'ouest) et accueille quelques uns des plus grands joyaux patrimoniaux de Macédoine sur sa rive sud-est.
L'été, les abords du lac se remplissent de touristes venus pour découvrir les richesses culturelles et naturelles de la région ainsi que pour se détendre dans les nombreux complexes touristiques du rivage.
Durant plusieurs siècles, la pêche a été la principale ressource économique des habitants de Ohrid et ses environs. Au total ce sont plus de 200 espèces endémiques de poissons qui peuplent le lac! Malheureusement, les activités industrielles et agricoles des hommes ont tendance à assombrir les eaux du lac autrefois transparentes, aux dépens bien-sûr de ses habitants.
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En longeant le rivage depuis les rues principales vous arriverez à cette église installée sur un rocher surplombant le lac.
L'Eglise Saint-Jean de Kaneo est considérée par beaucoup comme le symbole de la République de Macédoine.
Installée à quelques centaines de mètres de la ville d'Ohrid, cette petite église de style byzantin domine le lac d'Ohrid depuis son promontoire rocheux. Elle aurait été construite au XIIIème siècle puis abandonnée durant la période de domination ottomane. Au XXème siècle, la beauté de ses fresques intérieures sont redécouvertes et les autorités macédoniennes décident d'engager des travaux de rénovation. La présence de cette église dans la ville d'Ohrid a largement contribué à son classement au patrimoine mondial de l'Unesco.
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Un peu plus haut vous atteindrez l'église Saint Pantaleimon qui offre elle aussi une vue splendide sur le lac.
L'église Saint Pantaleimon d'Ohrid, aussi appelée église de Saint-Clément, est un lieu de culte situé dans la ville d'Ohrid.
Cette église de style byzantin fut construite durant le Xème siècle à la demande de St Clément d'Ohrid qui y repose depuis l'an 916. Durant la période de domination ottomane, l'église subit de nombreuses modifications, elle fut par exemple transformée à deux reprises en mosquée! La construction actuelle, construite sur les plans de l'église initiale, fut achevée en 2002.
Le site qui offre une magnifique vue sur le lac d'Ohrid accueille aussi un formidable chantier archéologique où l'on découvre notamment les ruines d'une basilique.
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Après un petit effort au cœur de la pinède, vous rejoignez la forteresse du Tsar Samuel qui domine la ville d'Ohrid.
La Forteresse Samuel domine la ville d'Ohrid et le lac homonyme. C'est le symbole de l'ancienne puissance politique de la ville.
Une première forteresse aurait été construite à cet endroit au Vème siècle de notre ère. Lorsque le Tsar Samuel Ier de Bulgarie fit de Ohrid sa capitale en 969, de nouvelles fortifications y furent ajoutées. L'édifice fut détruit et reconstruit à de nombreuses reprises durant la période de domination byzantine, la seule partie encore visible est ainsi le cœur de la citadelle constitué de 18 tours et 4 portes. Au sommet des murailles les visiteurs dominent la ville et profitent d'une vue grandiose sur l'ensemble du lac.
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En contrebas se trouve l'ancien théâtre, un témoin de la présence passée des grecs et des romains.
Le Théâtre antique d'Ohrid est une construction grecque datant du Ier siècle de notre ère.
Suite à sa construction, le théâtre ne fut utilisé que très peu de temps par les grecs puisque les romains le prirent quelques décennies plus tard. Ceux-ci l'utilisèrent comme amphithéâtre pour les besoins des jeux du cirque et l'abandonnèrent au VIème siècle ap-JC suite à un tremblement de terre. Ce n'est ensuite qu'à la fin du XXème siècle que les vestiges furent découverts. En 2002 les rénovations ont été achevées et le site accueille désormais de nombreuses représentations théâtrales.
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Cette journée autour de Ohrid sera l'occasion de mieux connaître les lacs d'Ohrid et de Prespa en vous rendant dans plusieurs villages typiques de la région, le tout en empruntant des routes somptueuses.
Les rives sud-est du lac d'Ohrid regorgent de petits villages, encore relativement préservés, entre les eaux du lac et les montagnes du parc national Galicica.
Sur la route du monastère de Naum vous traverserez les villages de Dolno Konjosko, Peshtani ou Trpejca sur les rives du lac. Ces villages intégrés dans le Parc National Galicica, offrent des possibilités de baignade et de visite à l'écart de l'agitation de Ohrid.
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Avant de prendre la route de montagne menant au lac Prespa, longez la rive du lac jusqu'à la frontière albanaise où vous trouverez le monastère St Naum.
Le Monastère de St Naum se situe sur un éperon rocheux de la rive du lac d'Ohrid, à quelques mètres de la frontière albanaise.
La construction de ce monastère fut initiée entre le IXème et le Xème siècle, selon les sources, par Saint Naum un disciple de Cyrille et Méthode. La totalité du monastère a été construite entre cette période et le XVIème siècle, aucune modification n'y fut ajoutée ultérieurement mais il subit au XIXème siècle un incendie détruisant une partie des bâtiments.
Dans l'enceinte du monastère vous pourrez découvrir la tombe de Saint Naum, vénéré tant par les macédoniens que par les albanais.
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Sur la route du lac de Prespa vous aurez la possibilité d'admirer des paysages somptueux. A plus de 1500 mètres d'altitude vous profiterez successivement de panoramas sur les lacs d'Ohrid puis de Prespa.
Le Lac de Prespa est une étendue d'eau douce gigantesque marquant la frontière entre l'Albanie, la Grèce et la Macédoine.
Le Lac de Prespa possède une faible attractivité touristique du fait de la reconnaissance de son voisin Ohrid. Pourtant ce sont bien les infiltrations de Prespa qui ont donné vie au lac d'Ohrid! Sur les rives du lac, de nombreux villages traditionnels offrent un paysage de rêve au cœur des montagnes. Les sommets de ces dernières offrent d'ailleurs une vue incroyable sur les environs et peuvent être l'occasion d'une randonnée pédestre.
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Vous longerez ensuite les rives du lac Prespa jusqu'au village de Brajcino. Sur la route vous pourrez vous arrêter à Kurbinovo.
Le village de Kurbinovo se trouve sur les rives du lac de Prespa, au pied des montagnes Pelister.
Niché sur les contreforts du Parc National Pelister qui fait le lien entre Bitola et le lac Prespa, Kurbinovo est un petit village typique des régions rurales macédoniennes. Le principal intérêt de cette localité, outre son architecture traditionnelle, est l'église dédiée à Saint-Georges. Celle-ci a été construite au XIIème siècle et a été déclarée ''Monument de la culture'' en raison de la grande valeur de ses fresques intérieures.
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Bitola, la seconde ville de Macédoine sera au cœur de cette journée de visite.
Bitola est une ville du sud-est de la Macédoine, elle se situe au pied de la montagne Pelister.
Avec ses 100 000 habitants, Bitola est aujourd’hui la seconde ville de Macédoine...après avoir été la 3ème ville de l’empire Ottoman.
Connue comme étant « la ville des consuls » la France y a ouvert des écoles françaises au début du 20ème siècle. Différentes nationalités ont contribué à donner à la ville son caractère résolument cosmopolite et son goût prononcé pour les manifestations culturelles.
De fait il se dégage des rues de Bitola une atmosphère particulière, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs en Macédoine.
Son architecture contribue aussi à cette ambiance, qui garde encore de nombreuses traces de cette époque, avec des maisons de style néoclassique, mais aussi néo-Renaissance ou baroque. La ville est traversée par une artère principale appelée « corso » piétonne et parsemée de nombreux restaurants et cafés qui animent la vie sociale de la ville. Le centre ville est l’endroit à ne pas louper bien sur, mais aussi le vieux bazar, très authentique, la mosquée Haydar Kadi ou l’Eglise Orthodoxe St. Dimitri.
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A proximité de la Mosquée Jeni vous appercevrez la Tour de l'Horloge, un symbole local.
La Tour de l'Horloge est un monument emblématique de la seconde ville de Macédoine: Bitola. Cet édifice datant du XIXème se situe au de Chirok Sokak, la rue festive de Bitola.
Au sommet de l'édifice 15 cloches ont été installées au début du siècle dernier.
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Un peu plus loin vous attend le bazar de la ville. Celui-ci n'est pas du tout muséifié contrairement à de nombreux bazars orientaux ce qui offre aux visiteurs une balade authentique.
Le quartier du Vieux Bazar à Bitola est le plus attractif d'un point de vue touristique ainsi que le plus préservé de la ville.
C'est au nord de la rivière Dragor que s'étend le Vieux Bazar de Bitola, un quartier ayant conservé l'architecture traditionnelle de l'époque ottomane. Le bazar de Bitola a en effet connu un important essor durant la période de domination turque, il était à cette époque le centre économique et culturel de la ville. Peu à peu l'activité a baissé et les autorités locales ont ainsi récemment fait le choix de rénover le quartier pour ne pas le voir disparaitre.
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A quelques kilomètres de Prilep vous avez la possibilité de vous rendre au monastère de Treskavets qui offre un large panorama sur toute la vallée. Depuis le monastère vous pouvez réaliser, à pied, l'ascension du Mont Zlatovrv. Attention cette courte promenade d'environ 1h est fortement déconseillée aux personnes sujettes au vertige.
Le Monastère de Treskavets est situé dans les montagnes surplombant la ville de Prilep dans le sud-ouest de la Macédoine.
C'est à plus de 1200 mètres d'altitude, dans un décor montagneux magnifique, que se trouve ce monastère construit entre le XIIIème et le XIVème siècle. Les objets sculptés et les fresques sont les principaux éléments de valeur de ce lieu de culte qui fut sauvé durant les années 2000 par l'organisation mondiale de l'Unesco qui apporta une aide financière pour sa restauration.
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