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Ecolo
Venez découvrir en une dizaine de jours les merveilles de la Roumanie ! Dans cette immersion, vous allez découvrir tant de choses : villes saxonnes, Delta du Danube, vignoble, villages, phénomènes naturels, château, églises, monuments, forteresses et citadelle, sites UNESCO, monastères, musées, vallées, promenade en train, mines.. et bien plus encore !
Pour mieux profiter de vos vacances, vous serez accueillis dans des hôtels de charme en plein cœur des plus grandes villes de Transylvanie.
Laissez-vous suprendre par la beauté des églises fortifiées nichées au cœur des Carpates et par l'hospitalité de ce peuple si attachant !
Période | par personne en chambre double | par personne en chambre individuelle |
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du 01 Avril au 31 Octobre | 0 € | 0 € |
# | Versements | Acheteur | Payé le | Mode de paiement | Next payment amount |
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Finalement vous arriverez dans la ville de Tulcea qui est la porte d'entrée du delta du Danube. Vous passerez la nuit au bord du Danube. La ville de Tulcea est la préfecture du département/ județ qui porte son nom. C'est une ville souvent boudée par les guides touristiques du fait de la forte présence de bâtiments d'architecture communiste.
Tulcea est apparue pour la première fois dans des documents officiels au 16ème siècle alors que son territoire était déjà sous domination ottomane. En 1878, à la fin du conflit russo-turque, la Dobrogée du Nord et ainsi Tulcea sont données à la Roumanie. La ville connaîtra alors, jusqu'à la fin de l'ère communiste, une modernisation forcée pour assouvir les besoins du secteur industriel roumain. Le port est le centre économique de la ville du département, à cette époque de nombreux navires sont construits et réparés à Tulcea qui s'ouvre au monde grâce à son fleuve. Les relations économiques s'orientent vers les autres villes du Danube: Galati, Braila, Orsova ou encore Belgrade et Budapest. Mais le libéralisme à outrance des années 1990 aura raison de Tulcea et de sa région et de nombreuses activités industrielles sont désormais en faillite.
L'emplacement géographique, l'histoire et l'économie de la ville ont attiré de nombreuses populations étrangères si bien que Tulcea est devenue peu à peu une ville cosmopolite. En effet, parmi les 90 000 habitants que compte la commune, un peu plus de 80% seulement sont des roumains, on retrouve ainsi de nombreux russes lipovènes, des turcs, des roms ou des ukrainiens dans les rues de Tulcea.
D'un point de vue touristique, Tulcea est considérée comme la Porte du Delta. La plupart des routes maritimes partent en effet de Tulcea où se séparent les trois principaux bras du Delta du Danube: le Bras Chilia (au nord), le Bras Sfantu-Gheorghe (au sud) et le bras Sulina (au centre). L'activité touristique permet au port de se reconvertir pour offrir des services de transport aux touristes, mais il faut bien avouer que de nombreux efforts restent à faire.
Tulcea n'est pourtant pas seulement une porte d'entrée vers le Delta, la ville possède elle aussi ses propres atouts touristiques! Les principaux sites de visite sont le Centre Muséal Ecotouristique du Delta du Danube, le Musée Ethnographique d'Art Populaire, la Cité antique Aegyssus ou le Port de la ville.
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Vous ferez une excursion en barque à moteur hors-bord ou vous embarquerez pour une journée de croisière au fil du Danube et de son delta, à travers les lacs et les petits canaux environnants, pour découvrir la richesse du delta.
C’est l’occasion d’une première immersion dans le monde sauvage du delta.
Dans cet environnement sauvage vous rencontrerez des colonies de pélicans, des aigrettes et autres cormorans. Ne nous y trompons pas, la nature et maître dans le delta et nous n'y sommes que de passage!
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La notoriété du Delta du Danube dépasse largement les frontières de Roumanie. Cette réserve naturelle est l'une des plus grandes d'Europe ainsi que l'une des 631 Réserves de Biosphère au monde. C'est d'ailleurs le seul delta à avoir reçu ce statut!
Le Danube est le second plus long fleuve en Europe après la Volga. Prenant sa source en Forêt Noire, il traverse successivement l'Allemagne, l'Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Serbie et la Roumanie (Ajoutons la Bulgarie, la Croatie, la République de Moldavie et l'Ukraine dont les frontières sont délimitées par le fleuve). A hauteur de la ville de Tulcea, le Danube atteint des zones de plaine entraînant la division de son cours en trois bras. Du nord au sud, le Bras Chilia draine environ 58% du flux total du fleuve, le Bras Sulina 19% et le Bras Sfantu Gheorghe 23%. Ces bras forment ainsi un triangle jusqu'à la Mer Noire dont les côtés sont longs de 80 km. Ce n'est pourtant pas sa taille (23ème delta au monde par la taille) ni son débit qui fait du Delta du Danube un lieu unique, mais bien ses caractéristiques paysagères, faunistiques et floristiques.
Les marécages du delta se situent à 82% dans le territoire roumain et à 18% en territoire ukrainien, au-delà du Bras Chilia. Cette région est la plus jeune du territoire roumain, les alluvions s'accumulent au bord de la Mer Noire seulement depuis quelques dizaines de milliers d'années. Cette accumulation d'alluvions a formé des cordons de terre que l'on retrouve à hauteur de la forêt de Letea ou de Gura Portitiei à l'est du lac Razim. Des lagunes se sont formées et ont été petit à petit bouchées par l'apport en sédiment du fleuve, si bien que le delta a gagné du terrain sur la mer. Il faut en effet bien se rendre compte que la delta n'est pas figé, il avance continuellement vers la mer grâce à l'apport du fleuve. Depuis les travaux réalisés à hauteur des villes de Braila et Galati, les alluvions atteignent plus difficilement le delta qui évolue donc de façon plus lente.
Le paysage local est très particulier, c'est un enchaînement de lacs, de canaux, de forêts et de dunes de sable disposés de façon anarchique entre les trois principaux bras. Les hommes ont appris à maitriser ce territoire, ils ont ainsi construit des villages tout au long des bras de Chilia, Sulina et Sfantu Gheorghe. Les principaux villages sont Murighiol, Mahmudia, Mila 23, Crisan, Sulina, Sfantu-Gheorghe sur les deux bras sud du delta mais aussi Jurilovca ou Sarichioi encore plus au sud sur le lac Razim. Le bras de Chilia quant à lui est quasiment désertique du fait de sa faible accessibilité.
Cette région possède un climat ainsi qu'une situation géographique favorisant le développement de la faune et de la flore. A mi-distance entre l'Equateur et le Pôle Nord, le Delta du Danube constitue l'étape idéale des oiseaux migrateurs durant le printemps et l'automne. A ces périodes, le dédale de canaux se remplit de colonies de cormorans, de pélicans, d'aigrette, de hérons ou encore de balbuzards pêcheurs pour le plus grand plaisir des ornithologues. Le delta est aussi peuplé de milliers de chevaux sauvages, abandonnés par des paysans durant l'époque communiste, ils se sont reproduits et sont depuis revenus à l'état sauvage.
Les hommes et leur culture constituent aussi un trésor du delta. On ne vit pas dans le Delta du Danube comme dans n'importe quel endroit au monde! Les locaux ont du s'adapter à leur environnement que ce soit pour leurs déplacements ou pour leur production agricole. Les principales activités économiques se concentrent sur l'agriculture (élevage en majorité), souvent vivrière, et sur la pêche.
Les populations locales sont très diversifiées, les roumains sont bien-sûr majoritaires mais des ukrainiens et surtout des populations de russes lipovènes (russes d'ancien rite pourchassés en Russie au 17ème siècle et s'étant installés en Ukraine, en Roumanie et pour certains en Alaska) ! Les lipovènes sont une grande richesse du delta, leur architecture teintée de bleu clair et de toits en roseaux marquent les paysages du delta de même que leurs fêtes religieuses.
Par leurs modes de déplacement, les hommes font aussi le paysage! Si désormais de nombreux bateaux de transport rapide traversent le delta, les lotca, barques traditionnelles lipovènes, sont toujours l'outil de travail des petits pêcheurs du delta.
Pour l'ensemble de ces caractéristiques le Delta du Danube fut classé en 1991 au patrimoine mondiale de l'Unesco ainsi que dans le Programme sur l'Homme et la Biosphère, devenant ainsi la Réserve de la Biosphère du Delta du Danube (Rezerva Biosferei Delta Dunarii). Une réserve de biosphère poursuit plusieurs objectifs: la conservation du milieu, le développement économique et social durable et l'étude du milieu naturel pour mieux connaître l'impact de l'homme sur son environnement. Pour atteindre ces objectifs, plusieurs zones sont organisées dans chaque réserve: les aires centrales, strictement protégées par les législations nationales; les zones tampons, dédiées au développement économique durable et les zones de transition où les activités économiques peuvent se développer plus facilement.
Le Delta du Danube est un trésor naturel et culturel qu'il s'agit de respecter et de préserver!
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Le bras de Sulina se détache du bras de Sfantu-Gheorghe en aval de la ville de Tulcea. Si l'apparition de ce bras du Danube est évidemment due à des phénomènes naturels, le canal, tel qu'on le voit aujourd'hui est l'œuvre des hommes. Entre 1862 et 1902 des travaux ont été réalisés dans le but de permettre le transport fluvial tout en limitant les méandres naturelles du fleuve. La longueur du bras est ainsi passée de 93 à 64 km entre la ramification du bras de Tulcea et le déversement des eaux dans la Mer Noire à hauteur de la ville de Sulina.
Plusieurs communes se trouvent sur le long du canal dont voici les principales: Maliuc, Gorgova, Partizani, Crisan et bien-sûr la ville de Sulina à l'embouchure du bras.
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Les vins de la région roumaine de Dealu Mare gagnent progressivement une reconnaissance internationale. Ils faut dire que ses vignobles sont situés à la même latitude ceux de Bordeaux et de Toscane, cette région produit des vins reconnus et est devenue le symbole de l'ascension d'un nouveau monde viticole en Europe.
Les vins de cette région sont reconnus pour le goût riche, complexe et velouté.
Douze cépages différentes sont cultivées dans le vignoble de LacertA : six cépages pour les vins blancs et six cépages pour les vins rouges.
L'assortiment se compose de variétés internationales: Cabernet Sauvignon, Syrah, Pinot Noir, Merlot, Blaufraenkisch, Sauvignon Blanc, Pinot Gris, Rheinriesling, Chardonnay et Muscat Ottonel et variétés indigènes précieux: Fetească Neagră et Fetească Albă.
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Les Volcans Noroiosi constituent la principale attraction touristique du département de Buzau du fait de l'intérêt géologique et paysager de ce territoire. Au nord de Berca, dans des collines arides se trouvent les deux sites des ''Grands'' et ''Petits'' volcans (Paclele Mari, Paclele Mici) distants d'environ 3km.
Les Volcans Noroiosi n'explusent pas de la lave en fusion mais de l'argile mélangée à de l'eau et ne présentent, de ce fait, aucun danger pour l'homme. C'est à partir de 3000 mètres sous terre que différents gazs sous pression remontent à la surface. Le gaz est compressé dans les failles, générées par les mouvements terrestres de l'est des Carpates, et repoussent ainsi les éléments qu'ils rencontrent vers la surface. L'argile, qui se trouve dans le sous-sol de cette région, sort alors à la surface terrestre et sèche quasi immédiatement au contact de l'air. Cette solidification rapide a ainsi permis la création de petits volcans qui continuent aujourd'hui de grandir.
L'observation des Volcans Noroiosi est un enchantement! Sous nos yeux, le gaz continue de remonter à la surface, formant des petits volcans (d'une dizaine de mètres) ainsi que des lacs ronds rappelant les Maars volcaniques.
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En repartant des volcans, vous prendrez la direction de Brasov par la Vallée de Buzau qui vous amènera jusqu'à Prejmer. Sur la route vous pourrez faire quelques arrêts à la Cascade Pruncea, au barrage Siriu ou encore dans la réserve de bisons du village de Vama Buzaului.
La Vallée de Buzau est l'axe de communication reliant les villes de Brasov (Transylvanie) et Buzau (Munténie). De nombreux villages typiques se trouvent sur les rives de la rivière ainsi que des sites naturels que les autorités locales tentent de protéger.
Malgré ses nombreux joyaux, cette région n'est que très peu développée d'un point de vue touristique du fait de sa faible accessibilité.
Tout au long de la vallée, on retrouve plusieurs sites comme le village de Berca, le barrage de Siriu, la cascade Pruncea ou les Volcans Noroiosi dans les paysages arides de cette région isolée des Carpates.
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Le château de Bran, situé sur la commune du même nom, est souvent évoqué sous le nom de ''Château de Dracula''. A la limite entre la Valachie et la Transylvanie, au cœur d'un paysage splendide entre les montagnes de Bucegi et de Piatra Craiului, le Château de Bran est installé sur un promontoire dominant le bourg touristique.
A l'origine cet édifice fut construit par les chevaliers Teutoniques au 13ème siècle dans le but de contrôler et de taxer le traffic commercial de la vallée. Ce château construit en bois sera remplacé un siècle plus tard par une forteresse de pierres par le roi Louis 1er de Hongrie. Plusieurs modifications architecturales seront ensuite apportées au château (nottament en raison d'une explosion) jusqu'en 1699 où il revint à la famille des Hasbourgs, princes de Transylvanie. Durant la période 1918-2006 le propriété du château oscillera entre la famille royale, l'état communiste (qui ouvra le château aux visiteurs) et l'Etat roumain avant qu'il ne soit finalement rendu à la famille des Hasbourgs qui en est encore aujourd'hui propriétaire.
La visite du château de Bran fait partie des visites incontournables dans la région puisque ce Château est rattaché à la légende de Vlad Țepeș l'Empaleur dit Dracula. N'oublions pas que le nom de ''Château de Dracula'' n'est pas réellement fondé. En effet, Bram Stoker, l'auteur de ''Dracula'' se serait inspiré du personnage de Vlad Țepeș, en raison de sa cruauté, pour son roman. En revanche, aucun document n'atteste de la venue de ce dernier au château de Bran, certaines sources évoquent qu'ils s'y serait arrêté lors d'un voyage entre la Transylvanie et la Valachie voire qu'il y aurait été emprisonné.
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En fin d'après-midi vous arriverez à Brasov où vous prendrez vos quartiers pour la nuit.
Braşov est une des principales villes de Transylvanie et de Roumanie avec près de 280 000 habitants. Comme de nombreuses villes de Transylvanie elle porte un nom officiel roumain, mais aussi des noms hongrois (Brasso) et allemand (Kronstadt) qui illustrent ses origines saxonnes.
Braşov possède le statut de préfecture du département homonyme et est située dans le creux d’une dépression au cœur des montagnes des Carpates. La région de Brașov est aussi appelée ''Țara Bârsei'' ou 'Terre du berceau''. A proximité se trouvent les principaux sites d’activités de montagne du pays que sont les Monts Bucegi, Piatra Craiului ou encore les Monts Fagaras.
Les traces de présence humaine dans le bassin de Brasov remontent au néolithique et attestent de la présence, plusieurs siècles plus tard, de daces dans la région. Malheureusement, les découvertes ont été en grande partie détruites par le pouvoir communiste au cours de son demi-siècle au pouvoir en Roumanie. Construit à partir de divers villages, devenus aujourd’hui des quartiers de la ville, Brasov trouve son essor au cours du 16ème siècle grâce à sa situation géographique aux confins de la Valachie et de la Moldavie et à une situation fiscale avantageuse.
Suite au rattachement de la Transylvanie à la Roumanie, la seconde guerre mondiale laisse place au régime communiste. Brasov, ville fondamentalement protestataire, change de nom le 8 septembre 1950 et devient ‘Orasul Stalin’, la ville de Staline, au cours du processus de soviétisation de la Roumanie. Le pouvoir communiste va même jusqu’à installer sur la colline dominant la ville l’inscription ‘STALIN’ en lettres géantes. Sept après la mort du leader géorgien, en 1960, Brasov retrouvera son identité et c’est désormais son nom roumain que l’on retrouve sur la colline Tâmpa.
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En repartant des volcans, vous prendrez la direction de Brasov par la Vallée de Buzau qui vous amènera jusqu'à Prejmer. Sur la route vous pourrez faire quelques arrêts à la Cascade Pruncea, au barrage Siriu ou encore dans la réserve de bisons du village de Vama Buzaului.
La Vallée de Buzau est l'axe de communication reliant les villes de Brasov (Transylvanie) et Buzau (Munténie). De nombreux villages typiques se trouvent sur les rives de la rivière ainsi que des sites naturels que les autorités locales tentent de protéger.
Malgré ses nombreux joyaux, cette région n'est que très peu développée d'un point de vue touristique du fait de sa faible accessibilité.
Tout au long de la vallée, on retrouve plusieurs sites comme le village de Berca, le barrage de Siriu, la cascade Pruncea ou les Volcans Noroiosi dans les paysages arides de cette région isolée des Carpates.
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Vous arriverez finalement à Sighisoara où vous attend une belle promenade dans les ruelles de la cité.
C'est la plus belle cité médiévale de Roumanie qui s’élève au sommet d’une colline boisée. Le coeur de la ville, où se situe par exemple ''l'église de la colline'' est classé au patrimoine mondiale de l'Unesco depuis 1999. Fondée par les Saxons de Transylvanie au bord de la rivière ''Târnava mare'' au cours du 12ème siècle, la ville actuelle a été installée sur le site d'un ancien castrum romain.
Courant le long des fortifications, neuf tours au toit pointu montent encore la garde. La plus grande est la fameuse Tour de l’Horloge (Turnul cu Ceas) haute de 64 m à voir absolument. Le conseil de la ville se tenait jusqu’en 1556 dans cette tour qui abrite aujourd’hui le musée d’Histoire.
Non loin de là, à l’angle de la rue Cositorarilor, se trouve la maison où serait né Vlad Tepes (Dracula) en 1431.
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L'essentiel des visites se concentrent dans la citadelle de la ville, c'est-à-dire le quartier construit sur la colline.
La citadelle de Sighisoara est le quartier central de la ville construit par des colons saxons au 13 ème siècle. Celle-ci a été classée en 1999 au patrimoine mondial de l'Unesco en raison de la qualité et de la conservation de son extraordinaire patrimoine culturel. Ce quartier sera l'occasion d'une belle promenade pédestre dans les rues piétonnes serpentant au milieu des maisons colorées de la citadelle. Au beau milieu de la Transylvanie, ces couleurs laissent parfois croire aux visiteurs qu'ils se trouvent en méditérannée.
Les principaux monuments à visiter sont les différentes tours de la citadelle (et surtout la tour de l'horloge), les églises (église sur la colline, église du monastère) et la maison de Vlad Dracul, le père de Vlad Țepeș.
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C'est le plus grand monument de la ville, vous le découvrirez à côté de la Place Cetatii.
La Tour de l'horloge est l'un des principaux monuments militaires de Transylvanie et le symbole de la ville de Sighisoara. Initialement, cet édifice était une simple porte d'entrée de la ville; sur les 14 tours construites au 14ème siècle seules 9 sont encore debout. Par la suite, son importance a grandi et la tour a été réhaussée jusqu'à atteindre 64m de haut sur 6 étages. Le toît construit en style baroque en 1677 suite à un incendie est remarquable grâce à ses 4 petites tours disposées à chacun de ses coins.
Longtemps utilisé pour accueillir les locaux de la mairie, la tour a finalement reçu ses horloges au 18ème siècle, chacune mesurant 2.40m de diamètre.
Désormais la tour accueille le musée de la ville de Sighisoara grâce nottament à divers donateurs d'origine saxonne. Cette collection qui continue de s'enrichir permet de mieux appréhender l'histoire et l'identité de Sighisoara et de la Transylvanie.
Les autres tours de la ville sont parfois utilisées pour des démonstrations liées au corps de métier auxquelles les tours se rattachent. On peut donner comme exemples la Tour des Bouchers, la Tour des Tailleurs ou encore la Tour des Pelletiers.
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L'Escalier des Ecoliers de la ville de Sighisoara est un petit bijou architectural permettant de rejoindre l'Eglise de la Colline et surtout le lycée J.Haltrich depuis le centre ville.
Cet escalier couvert existe depuis 1642, il fut édifié par la municipalité dans le but de protéger les écoliers des intempéries lorsqu'ils se rendaient à l'école. Construit en bois, et très bien entretenu cet escalier possède actuellement 175 marches.
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Vous atteindrez ce lieu de culte après un court effort physique vous permettant de vous hisser au sommet de l'Escalier des Ecoliers.
L'église de la colline de Sighisoara se trouve, comme son nom l'indique, au sommet de la principale colline de la ville. Comme de nombreux édifices de la région, son érection a été particulièrement longue (1345-1525) en raison des tensions entre roumains, turcs et austro-hongrois ainsi que des mouvements terrestres.
Cette église est reconnue comme l'édifice ecclésiastique le plus représentatif de l'art gothique en Transylvanie. Plusieurs éléments architecturaux illustrent ce style: un choeur très large, des voûtes d'ogive et des fenêtres dont les ouvertures ont une forme d'arc cassé.
A l'intérieur, on retrouve les fresques réalisées en 1488 par le peintre Valentin, celui-ci n'est autre que le maire de Sighisoara de l'époque.
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Ce lieu de culte se situe à proximité de la Place de la Citadelle et de la Tour de l'Horloge.
L'église du monastère se trouve à proximité de la Tour de l'horloge et a été construite au 13ème siècle, c'était à cette époque une église dominicaine. La forme de l'actuelle église date en revanche de 1677, l'ancien monastère ayant été remplacé par le Conseil Municipal. Le sanctuaire construit en style gothique possède 3 nefs de hauteur égale. Les dimensions de l'église sont de 44.5m de longueur et 12.6m de largeur.
Une des traditions de cette église luthérienne est que le prêtre sorte le premier après la messe pour saluer l'ensemble des fidèles.
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Les gorges de Bicaz, formées par la rivière du même nom, sont une zone de protection intégrale du Parc National ''Gorges de Bicaz- Hășmaș'' au même titre que le Lac Rouge ou le Massif de Hășmaș. Ce defilé est un des principaux lieux de passage entre la Moldavie et la Transylvanie ainsi qu'un site très touristique du fait de la beauté et de la profondeur des gorges.
La rivière Bicaz a en effet façonné ces falaises de calcaire qui tombent abruptement dans la vallée sur environ 8km.
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La région de la Moldavie se situe sur la partie est de la Roumanie. C'est avec la Munténie la plus ancienne région rattachée à l 'Etat roumain.
La culture moldave trouve sa source dans la culture Cucuteni, une civilisation ayant dominé la région ainsi que des territoires de l'actuelle Ukraine et République de Moldavie entre 5500 et 2750 ans avant JC. Cette civilisation est principalement connue pour ses productions de céramiques découvertes sur l'ensemble du territoire. Le village de Cucuteni (renommé ainsi en 1884) fut d'ailleurs le site où l'on retrouva les premiers vestiges de cette culture. Aux Cucuteni succédèrent les Daces qui dominèrent la région à l'époque romaine.
C'est ensuite en 1360 que Bogdan 1er aurait créé l'Etat moldave à proximité de la mer noire. Le territoire moldave s'étendait alors des Carpates aux Niestr (fleuve de séparation de l'actuel état moldave et la Transnistrie) et du sud de l'Ukraine actuelle à la mer noire. Le 15ème siècle fut ensuite l'âge d'or de la région sous les règnes d'Alexandre le Bon, Etienne le Grand et Petru Rareș; on loue les mérites de ces souverains qui résistèrent durant près d'un siècle à l'envahisseur ottoman. Mais dès 1484 la Moldavie commença à perdre des territoires: les côtes de la mer noire, ses ports danubiens et enfin la région de Bucovine, donnée en 1775 aux Autrichiens. Enfin, la région de Bessarabie (situé entre le Prut et le Niestr) fut perdue en 1812 au profit de l'empire russe; un temps récupéré par la Roumanie, ce territoire fut définitivement perdu à la fin de la seconde guerre mondiale. La Bessarabie constitue aujourd'hui le territoire de la République de Moldavie.
La Moldavie est donc désormais coupée en deux, la partie Roumaine est constituée de 8 départements (județe) dont les principales villes sont Iași, Galați, Roman, Bacău et Suceava. La plaine du Siret (à l'est de la région) concentre les difficultés de la Moldavie puisque ses départements sont parmis les plus pauvres du pays tandis que les régions aux abords des Carpates jouïssent d'un plus fort développement. Les emblèmes de la région sont un aigle tenant dans son bec une croix et un Auroch, animal qu'aurait tué, selon la légende, Dragoș, créateur de la région.
Le patrimoine moldave est principalement issu de l'âge d'or de la région, époque où ont été construits les monastères de Bucovine ainsi que les citadelle de Târgu Neamț et Suceava. De même, l'artisanat est très présent en Moldavie ainsi que la production de vin, principalement dans le département de Vrâncea.
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La Bucovine fait partie de la région historique de Moldavie qui s'étend à l'est de la Roumanie. Si le cœur de la Moldavie roumaine se situe désormais à Iași, plus grande ville de la région, la Bucovine, ce petit territoire au nord de la région, en est le berceau. Ces terres sont marquées par une grande diversité, située à un carrefour des civilisations, elle a été la source de nombreuses convoitises. La région est considérée comme la ''Terre d'en-Haut'' (Țara de sus) en opposition à la ''Terre d'en-bas'' constituée des plaines du centre et du sud de la Moldavie. La Bucovine est désormais partagée entre les territoires roumains et ukrainiens en raison de la forte influence russe sur la région au cours du 20ème siècle.
C'est au 14ème siècle que la Bucovine prend de l'ampleur en Moldavie, alors vassale du royaume de Pologne. C'est aux 15ème et 16ème que seront construits les fameux monastères de Bucovine sous les règnes de Alexandre le Bon, Etienne le Grand et Petru Rareș.
La région fut ensuite dominée par l'Empire Ottoman qui la céda aux autrichiens en remerciement de leur neutralité dans le conflit russo-turc. C'est alors que le nom de ''Bucovine'' (Pays des hêtres) fut donné à ce territoire. Jusqu'en 1919, la Bucovine restera sous autorité autrichienne, c'est une période de grand brassage éthnique mais aussi de persécution des moldaves roumanophones.
A l'issue de la première guerre mondiale, la Roumanie obtient la région, c'est la période de la ''douce Bucovine'' qui sera mise à mal par la crise économique des années 1930 ainsi que par le pacte germano-soviétique de 1939 qui entraîna une longue période de persécution contre les moldaves instruits et les juifs principalement en Bucovine du Nord occupée par l'Armée Rouge.
A la fin de la 2nde guerre, en 1947, le partage de la Bucovine entre la Roumanie et l'Ukraine est entériné. Les frontières ne seront plus modifiées jusqu'à nos jours.
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Finalement vous arriverez dans le pays des monastères.
La région de Bucovine est principalement connue pour ses monastères construits au 14ème et au 15ème siècles, âge d'or de la région. Les monastères comme Voronet ou Moldovita sont de réels marqueurs dans la culture et l'identité de la région, ces différentes églises ont été classées aux patrimoine mondiale de l'Unesco en 1993 sous la catégorie ''Eglises peinte du nord de la Moldavie''.
Mais l'intérêt de ce territoire ne se résume pas à ces seuls édifices. Les paysages de Bucovine, formés de petites collines de l'extrémité nord des Carpates et de larges forêts sont une invitation au repos et à la rencontre des hommes qui vivent au quotidien ces paysages préservés. Les habitants de la région ne sont pas de grands bâtisseurs mais des hommes soucieux des détails. Leur savoir-faire s'exprime dans les villages où l'architecture des constructions donne à voir la capacité des locaux à harmoniser l'esthétique de leur habitat avec le paysage qui l'entourent. La finesse des broderies et des oeufs peints, typiques de la région ne vous laisseront sûrement pas indifférents.
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La région de Bucovine est principalement connue pour ses monastères construits au 14ème et au 15ème siècles, âge d'or de la région. Les monastères comme Voronet ou Moldovita sont de réels marqueurs dans la culture et l'identité de la région, ces différentes églises ont été classées aux patrimoine mondiale de l'Unesco en 1993 sous la catégorie ''Eglises peinte du nord de la Moldavie''.
Mais l'intérêt de ce territoire ne se résume pas à ces seuls édifices. Les paysages de Bucovine, formés de petites collines de l'extrémité nord des Carpates et de larges forêts sont une invitation au repos et à la rencontre des hommes qui vivent au quotidien ces paysages préservés. Les habitants de la région ne sont pas de grands bâtisseurs mais des hommes soucieux des détails. Leur savoir-faire s'exprime dans les villages où l'architecture des constructions donne à voir la capacité des locaux à harmoniser l'esthétique de leur habitat avec le paysage qui l'entourent. La finesse des broderies et des oeufs peints, typiques de la région ne vous laisseront sûrement pas indifférents.
Finalement vous arriverez dans le pays des monastères.
La région de Bucovine est principalement connue pour ses monastères construits au 14ème et au 15ème siècles, âge d'or de la région. Les monastères comme Voronet ou Moldovita sont de réels marqueurs dans la culture et l'identité de la région, ces différentes églises ont été classées aux patrimoine mondiale de l'Unesco en 1993 sous la catégorie ''Eglises peinte du nord de la Moldavie''.
Mais l'intérêt de ce territoire ne se résume pas à ces seuls édifices. Les paysages de Bucovine, formés de petites collines de l'extrémité nord des Carpates et de larges forêts sont une invitation au repos et à la rencontre des hommes qui vivent au quotidien ces paysages préservés. Les habitants de la région ne sont pas de grands bâtisseurs mais des hommes soucieux des détails. Leur savoir-faire s'exprime dans les villages où l'architecture des constructions donne à voir la capacité des locaux à harmoniser l'esthétique de leur habitat avec le paysage qui l'entourent. La finesse des broderies et des oeufs peints, typiques de la région ne vous laisseront sûrement pas indifférents.
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Surnommée ''Chapelle Sixtine de l'Est'' l'église du monastère de Voroneț est un véritable bijou d'architecture et d'art pictural. La couleur dominante de cette église est un bleu si particulier qu'il est souvent appelé ''bleu de Voronet''.
Cette église a la particularité d'avoir été construite en à peine 3 mois et 3 semaines sous le règne d'Etienne le Grand (Ștefan Cel Mare) en l'an 1488 elle fut agrandie et peinte en 1547 à la demande de Grigore Rosca. En revanche, les fresques intérieures et extérieures qui ont fait la renommé de cette église datent du règne de Petru Rareș.
La fresque ayant le plus d'intérêt est celle du jugement dernier qui est trop souvent interprétée comme une oeuvre beliqueuse envers les peuples dit ''ennemis''.
Délaissé jusqu'aux années 90, le monastère a été sauvé de l'abandon par un groupe de religieuses qui occupe encore aujourd'hui les lieux.
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Finalement vous arriverez dans le pays des monastères.
La région de Bucovine est principalement connue pour ses monastères construits au 14ème et au 15ème siècles, âge d'or de la région. Les monastères comme Voronet ou Moldovita sont de réels marqueurs dans la culture et l'identité de la région, ces différentes églises ont été classées aux patrimoine mondiale de l'Unesco en 1993 sous la catégorie ''Eglises peinte du nord de la Moldavie''.
Mais l'intérêt de ce territoire ne se résume pas à ces seuls édifices. Les paysages de Bucovine, formés de petites collines de l'extrémité nord des Carpates et de larges forêts sont une invitation au repos et à la rencontre des hommes qui vivent au quotidien ces paysages préservés. Les habitants de la région ne sont pas de grands bâtisseurs mais des hommes soucieux des détails. Leur savoir-faire s'exprime dans les villages où l'architecture des constructions donne à voir la capacité des locaux à harmoniser l'esthétique de leur habitat avec le paysage qui l'entourent. La finesse des broderies et des oeufs peints, typiques de la région ne vous laisseront sûrement pas indifférents.
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Le Maramures est un département situé au nord-est du territoire roumain. Le nom de ce județ (département) a été emprunté à une micro-région à cheval entre les territoires roumain et ukrainien. Ce territoire, connu pour ses particularités ethnographiques et culturelles, se situe désormais sur la partie est du département du Maramures.
De sa situation géographique, particulièrement excentrée, découle en grande partie la singularité culturelle et ethnographique du Maramures. Dans les Carpates orientales, ce territoire est installé au coeur d'une dépression formée entre les montagnes Rodnei, Gutai, Tibles et du Maramures dont les sommets atteignent parfois plus de 2000 mètres. Ce bout de Roumanie manque donc cruellement d'accessbilité, que ce soit depuis le territoire hongrois ou roumain il faut gravir des cols à 1000m d'altitude pour entrer dans ce coin de paradis. Le Maramures, du fait de son isolement, a donc conservé d'anciennes coutumes et traditions aujourd'hui disparues dans d'autres zones de Transylvanie. La région est particulièrement vallonnée et s'organise en fonction des vallées (de l'Iza, du Viseu, du Vaser) creusées au fil du temps par les rivières. Le paysage local est verdoyant, parsemé de collines et des traces de l'agriculture vivrière locale. La ressource en bois est l'une des plus importante du pays et a permis le développement de l'artisanat lié à ce matériau.
Des recherches archéologiques ont attesté la présence à l'antiquité de populations Daces, ancêtres du peuple roumain. La ''Terre du Maramures'' n'apparait elle qu'au 13ème siècle, elle sera ensuite placée sous l'autorité hongroise tout en conservant une certaine autonomie du fait de ses particularités et constitua ainsi un voïvode. Le Maramures fut ensuite intégré au 16ème siècle à la grande Transylvanie pour environ 150 ans avant d'être repris par l'Empire Autrichien.
Au 20ème siècle, le Maramures est rattaché à la Roumanie suite au Traité de Paris de 1919. La seconde guerre apportera elle aussi son lot de problèmes à la région qui fut occupée en 1939 par l'armée hongroise et en 1944 par l'armée de l'Union Soviétique. Depuis le Maramures se remet petit à petit des événements passés et est aujourd'hui connu pour être un refuge de nature et de culture roumaine.
Les hommes de cette terre ont appris, au fil du temps, à l'utiliser et à en extraire ses ressources. La sylviculture, du fait de l'étendue des forêts dans la région, est devenue une des principales activités économiques. Les habitants ont ainsi construit leurs villages à partir du bois qu'ils trouvaient en abondance. Il fut une époque où chacune des maisons des villages portaient une marque où était inscrit le nom de la profession exercée dans cette demeure. L'entrée de ces maisons était parfois ornée d'une porte ou portique en bois illustrant la qualité de noble du propriétaire; cette construction réservée aux aristocrates les protégeait des autorités locales et les plaçait directement sous le commandement du roi.
Les églises en bois du Maramures sont elles aussi issues de l'activité sylvicole et du savoir-faire des artisans locaux. Ces églises, d'un style architectural singulier, sont éparpillées dans les villages du Maramures.Ce type de construction a été classé en 1999 au patrimoine mondial de l'Unesco sous la catégorie ''Eglises en bois du Maramures'', la liste comprend 8 églises (Budesti, Desesti, Barsana, Poienile Izei, Ieud, Surdesti, Plopis, et Rogoz).
Considéré comme l'illustration même de la ''viața la țara'' (vie à la campagne) à la roumaine, le Maramures conserve ses coutumes et traditions. La vie communautaire y est en outre encore très importante et les fêtes villageoises très fréquentes. A ces occasions c'est tout le village qui se réunis pour célébrer des fêtes réligieuses ou liées à l'agriculture, et tout ceci en habits traditionnels!
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Comme vous le remarquerez au cours de votre visite du Maramures, les tatars, font partie intégrante de l'histoire de la région du fait des massacres perpétrés en 1717.
En 1716, L'armée Habsbourg tente d'étendre sa domination aux terres roumaines et moldaves. Mihai Racovita, souverain moldave, effrayé par l'invasion de Iasi par les troupes autrichiennes, décide d'engager des bandes tatares pour répousser l'assaillant. Suite à leur premier succès, les Tatars continuent à avancer dans le nord de la Transylvanie.
Très peu de documents d'époque permettent de reconstituer l'avancée Tatare dans les régions du nord de la Roumanie. Il est malgré tout de notoriété publique que les Tatars après avoir dévasté la région de Satu Mare entrèrent finalement dans le Maramures, détruisant une grande partie des édifices religieux de la région.
Selon divers récits, les Tatars seraient entrés dans le Maramures le 1er septembre 1717 lorsqu'ils passèrent la Tisa. Ils auraient alors dévalisé la ville de Sighetu Marmatiei, puis, le 2 septembre attaqué Barsana. Sur la route de Stramtura ils furent attaqués une première fois par les troupes locales de Ioan Stan, SimioSapantant et Sigismund Naghy qui échouèrent dans leur tentative.
Les Tatars tentèrent, le 3 septembre, d'attaquer Borsa où ils auraient trouvé une résistance suffisante pour décider de renoncer et d'aller installer leur campement à quelques kilomètres de là, dans les gorges aux abords du col de Prislop. Durant la nuit, Popa Lupa Sandru et ses troupes préparent le piège qu'ils tendront aux Tatars au levé du jour...aux premiers rayons du solei, Sandru donne son signal et ce sont des milliers de rochers et de troncs d'arbres qui dévalent la montagne jusqu'au campement Tatar. C'est alors que les habitants de Borsa, armés d'outils agricoles, attaquèrent les Tatars. 6000 Tatars furent tués, 4000 fait prisonniers tandis que les derniers fuirent dans les montagnes.
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Le col de Prislop est l'unique passage entre les départements de Suceava et du Maramures à une altitude de 1 416m. La route DN 18 qui franchit ce col relie les localités de Cârlibaba (judet de Suceava) et Borșa (Maramures) entre les Parcs Naturels des Monts du Maramures (au nord) et des Monts Rodnei (au sud).
Les environs du col sont des paysages de haute montagne avec une végétation résineuse dominante sous les altitudes de 1600-1700m; au-delà de ces altitudes les prairies et zones rocailleuses sont dominantes sur les sommets dépassant pour certains 2000 mètres.
Au sommet se trouve le Monastère Sainte Trinité de Prislop à l'endroit où se lève le soleil sur le Maramures. Cette église est toutefois très récente puisqu'elle fut construite à partir de 1999. Tout proche se trouve aussi le Cimetière des Héros en l'honneur des soldats morts durant la Première Guerre Mondiale.
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La Vallée de l'Iza est l'une des principales vallées de la région historique du Maramures. La rivière Iza prend sa source dans les Monts Rodnei et traverse plusieurs localités tels Salistea de Sus, Bogdan Voda, Barsana pour finalement se jetter, à l'ouest de Sighetu Marmatiei dans la Tisa.
C'est dans cette vallée que se trouvent les principales constructions (églises en bois, maisons et villages traditionnels) qui font la renommée du Maramures. Depuis plusieurs années le tourisme a pris de plus en plus d'importance dans la vallée qui se développe principalement par cette activité. Malgré tout, les traditions locales ont résisté à la rencontre des cultures étrangères et perdurent dans les localités de la vallée.
Les monastères et églises en bois ainsi que l'architecture villageoise constituent les principaux biens patrimoniaux de la vallée tels que les églises en bois Bogdan Voda, Poienile Izei, Ieud et Botiza. Les villages accueillant ces églises sont eux aussi très intéressants pour les visiteurs aimant flâner dans les ruelles de villages des contrées retirées.
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La visite du village de Rozavlea est une belle étape pour découvrir une église en bois de 1720 aux belle peintures intérieurs.
L'église actuelle port patron Michel Archange et de Saint-Gabriel. La peinture a été réalisé par Ion Plohod à tempera en matière grasse en 1823-1825, ce qui donne un aspect riche et brillant. Dans l'église sont des icônes sur bois et de verre de style de Maramures avec une vrai valeur artistique.
Cette église est considérée comme l'une des meilleures créations de l'architecture populaire de Maramureş.
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Le premier document attestant de la présence d'un monastère à Barsana date de 1328 alors que ce territoire était soutenu par le roi Charles Robert d'Anjou. Construit par Dragos, il fut abandonné au 18ème siècle.
Ce n'est que depuis 1993 que le site a repris sa vie d'antan avec l'édification d'un nouveau monastère. Plusieurs contructions ont été réalisées: une porte spécifique du Maramures, une tour-clocher, une église, une chapelle, une maison d'artistes ainsi qu'un musée présentant l'histoire et la civilisation du Maramures.
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La commune de Vadu Izei se situe à environ 6km de Sighetul Marmatiei à proximité de la rivière Iza. Ce bourg d'environ 3 000 habitants est considéré comme la porte du Maramures de part sa situation géographique au nord-est de la vallée de l'Iza.
A proximité de Vadu Izei se trouve la vallée du chêne (Valea Stejarului), une localité accueillante et entourée de collines verdoyantes.
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La région de Bucovine est principalement connue pour ses monastères construits au 14ème et au 15ème siècles, âge d'or de la région. Les monastères comme Voronet ou Moldovita sont de réels marqueurs dans la culture et l'identité de la région, ces différentes églises ont été classées aux patrimoine mondiale de l'Unesco en 1993 sous la catégorie ''Eglises peinte du nord de la Moldavie''.
Mais l'intérêt de ce territoire ne se résume pas à ces seuls édifices. Les paysages de Bucovine, formés de petites collines de l'extrémité nord des Carpates et de larges forêts sont une invitation au repos et à la rencontre des hommes qui vivent au quotidien ces paysages préservés. Les habitants de la région ne sont pas de grands bâtisseurs mais des hommes soucieux des détails. Leur savoir-faire s'exprime dans les villages où l'architecture des constructions donne à voir la capacité des locaux à harmoniser l'esthétique de leur habitat avec le paysage qui l'entourent. La finesse des broderies et des oeufs peints, typiques de la région ne vous laisseront sûrement pas indifférents.
Durant cette journée vous ferez route vers Cluj-Napoca en traversant le nord de la Transylvanie. L'étape est assez longue du fait des faibles ressources patrimoniales dans les régions situées en le Maramures et Cluj-Napoca.
Sighetu Marmatiei est l'une des principales villes du département et a longtemps été la capitale du Maramures historique. Le nom de la ville en rappelle les origines hongroises, le terme de Sziget signifiant ''île'' en hongrois.
Sighet, comme les habitants ont l'habitude d'appeler leur ville, se situe à la confluence des rivières Iza et Tisa qui marque la frontière avec le territoire ukrainien. Ce bourg partage de nombreuses similitudes avec la Ruthénie ukrainienne voisine, nottament en terme ethnologique puisque ces deux régions ont longtemps accueillis d'importantes populations juives. Le plus célèbre représentant juif de la région étant l'écrivain Elie Wiesel dont on peut visiter la maison natale.
La ville a conservé dans son centre historique son caractère cosmopolite où roumains, hongrois, ukrainiens et roms continuent de vivre ensemble.
Autour de la Place de la Liberté (Piata Libertatii) se trouvent le musée ethnographique de la ville, le mémorial des victimes du communisme, la Maison d'Elie Wiesel ainsi que l'ancienne ville juive et le bazar ukrainien.
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Le musée mémorial des victimes du communisme est l'un des principaux musées relatant des faits de l'époque communiste en Europe Centrale et de l'Est. Ce mémorial se situe à l'intérieur même de l'ancienne prison de Sighet.
Construite par les autorités austro-hongroises en 1897 cette prison fut utilisée par le pouvoir communiste roumain comme lieu de détention de l'élite intellectuelle roumaine, de ce fait elle fut surnommé ''prison des ministres''. Suite à des arrestations les 5 et 6 mai 1950, plus de cinquante hommes politiques et intellectuels roumains ont été enfermés et ont fini leurs jours dans cette prison, parmi eux Iuliu Maniu (1er ministre à trois reprises et président du Parti National Paysan, décédé en 1953), Constantin I.C. Bratianu (président du Parti National Libéral, décédé en 1950) ou Ion Macovei (ancien directeur de la CFR, équivalent de la SNCF, décédé en 1950).
Durant 5 ans les conditions de vie des détenus furent abominables et causèrent la mort de 52 des 200 prisonniers. En 1955 l'adhésion de la Roumanie communiste à l'Organisation des Nations Unies oblige l'Etat roumain à respecter la convention de Genève (1949), de nombreux détenus sont ainsi libérés et le caractère politique de la prison tend à s'affaisser jusqu'à sa fermeture en 1977.
L'édifice sera alors utilisé pour diverses activités jusqu'à être abandonné. Ce n'est qu'en 1993 que la ruine de la prison fut reprise par la Fondation Academia Civica dans le but d'en faire un musée en collaboration avec le centre d'études de l'académie. Le musée vit finalement le jour en 2000 après plusieurs années de travaux pour restaurer le plus fidèlement possible l'ancienne prison.
Les muséographes ont décidé de dédier chaque salle à un événement, un élément ou un personnage lié à l'histoire du communisme en Europe de l'est. A titre d'exmples, la salle 14 traite de ''La Securitate (police secrète) entre 1948 et 1989'', la salle 83 de ''La Révolution de Hongrie (1956)'' et la salle 74 de ''La résistance au Maramures. Etude de cas: le Lot Visovan''.
Le Mémorial Sighet est considéré par le Conseil de l'Europe comme l'un des principaux lieux de mémoire du continent depuis 1998.
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Après avoir visité Sighetu Marmatiei, dont l'histoire vous aura certainement touché, nous vous proposons de reprendre des couleurs avec le lieu le plus insolite de Roumanie: un cimetière joyeux.
Le cimetière joyeux, Cimitirul Vesel, est devenu au fil du temps l'une des principales attractions touristiques du Maramures du fait de sa singularité vis-à-vis des cimetières roumains classiques. Le terme de ''joyeux'' lui a été attribué du fait de la représentation, souvent humoristique, de la mort.
C'est le sculpteur Ion Stan Patras qui dédia sa vie à cette œuvre comptant plus de 800 tombes sculptées dans du bois de chêne. Le bleu des tombes est particulièrement vif et exprime très bien l'idée de cimetière joyeux. Chaque tombe est personnalisée, un icône illustre la vie du défunt (par son activité principale ou par les conditions de son décès) et un épitaphe lui rend hommage. Ion Stan Patras, possède lui aussi sa tombe depuis son décès en 1977, on la reconnait à l'inscription ''Creatorul'', le créateur dont la succession est depuis assuré par Dumitru Pop.
Le cimetière joyeux, au-delà de son aspect humoristique mais aussi parfois cynique, entretient la mémoire de la vie quotidienne de ce village en accordant de la reconnaissance à chaque défunt.
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La municipalité de Cluj-Napoca est l'une des principales villes de Transylvanie conjointement avec Sibiu et Brasov. Vous aurez l'occasion de découvrir l'activité culturelle et festive de cette cité le soir même, s'il vous reste suffisamment de force, avant de vous lancer dans les visites le lendemain.
Situé dans une plaine entourée de collines à proximité de la rivière Somesul Mic, le territoire de la ville est habité depuis l'antiquité. Ce sont les Daces qui s'y installèrent les premiers, à cette époque le nom du bourg est toutefois incertain. Les divers noms de la ville (Napuca/ Napoca pour les daces et romains, Kolozsvar pour les hongrois, Klausenburg pour les allemands et Cluj pour les roumains) illustrent la diversité culturelle et ethnique que l'on retrouve dans l'ancienne capitale de Transylvanie.
C'est après la colonisation de la Transylvanie par les romains que la ville de Napoca est pour la première fois mentionnée (108 de notre ère). A partir de ce moment, possédant une position stratégique sur les routes marchandes entre la Valachie, la Moldavie et L'Empire Hongrois, Napoca ne cessera de se développer.
Ce développement sera ralenti par l'invasion des tatars de 1241 qui détruisirent la ville. Napoca eut beaucoup de mal à se remettre de cette invasion et resta, durant les siècles et décennies qui suivirent, une ville secondaire en Transylvanie, alors sous le joug magyar. En 1316, le roi Carol Robert de Hongrie accorde à la ville un statut de ville libre, Cluj peut ainsi gérer ses ressources de façon autonome; à cette occasion la première pierre de l'Eglise Saint-Michel est posée.
Après la proclamation de l'édit de Tolérance par Jean Sigismond en 1568, Cluj prend de plus en plus d'importance dans la Transylvanie austro-hongroise jusqu'à en devenir capitale de 1790 à 1867. En territoire roumain depuis 1918, la ville fut renommé Cluj-Napoca par Nicolae Ceausescu en 1974 en souvenir de ses origines daco-romaines.
Cluj-Napoca reste une ville multi-culturelle, en témoigne les enseignements en langue roumaine, hongroise et allemande de l'Université Babes- Bolyai. La population hongroise est encore très présente dans la ville.
Le patrimoine culturel est le témoin de la riche histoire de la ville. Les quartiers situés à proximité de Piata Unirii ou du Théâtre National sont les plus propices à la promenade. L'église Saint-Michel, sur la place Unirii, est le principal monument de la ville, à proximité se trouvent le Palais Banffy ainsi que l'Université Babes-Bolyai. Le parc Cetatuia offre aussi une superbe vue sur l'ensemble de la ville et sur les collines environnantes.
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C'est en 1316, après que Charles Robert de Hongrie ait donné le statut de ville libre à Cluj, que la construction de l'église Saint-Michel démarra; elle se termina en 1390. La tour de l'église, construite entre 1511 et 1543, fut endommagée par un incendie en 1697 puis par un un tremblement de terre en 1763, ce qui conduisit en 1837 à la construction de l'actuelle tour de l'horloge de style néo-gothique.
C'est la plus haute église de Transylvanie, le sommet de la tour qui culmine à 80 mètres domine la Place de l'Union et l'ensemble de la ville. A l'intérieur, la chapelle Schleuni, dédiée à l'archange Michel, conserve les plus belles fresques de l'église.
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Construite entre 1920 et 1930, peu de temps après le rattachement de la Transylvanie à la Roumanie, elle a servi dès 1973 de siège à l'achevêque de Cluj puis en 2006 au métropolite des département de Cluj, Maramures et Salaj.
La Cathédrale est dominée par une tour principale sur laquelle sont sculptées 18 colonnes, celle-ci est entourée de quatre petites tours installées tout autour de l'édifice. La peinture des fresques, réalisée peu de temps après la construction (1928-1933), est l'œuvre de Anastasie Demian et Catul Bogdan, des professeurs de l'Académie d'Art.
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Le monastère de Sapanta-Peri a été érigé en souvenir d'un ancien monastère situé sur l'actuelle rive ukrainienne de la Tisa. Ce monastère, qui était le siège du diocèse roumain du Maramures, fut construit à partir de 1391 et détruit en 1783.
Signe que la vie religieuse est toujours bien présente en Roumanie, la construction du monastère de Sapanta-Peri s'est achevée en 2004 après 8 ans de travaux!
Désormais, grâce à ses 78 mètres de hauteur l'église du monastère est la plus haute église en bois du monde, il est dit qu'on peut l'apercevoir depuis l'autre rive de la Tisa, en territoire ukrainien, où était installée l'ancienne église.
La famille Banffy fut l'une des plus importantes familles de nobles de Transylvanie, à l'époque où cette région se situait en terres hongroises.
Après que la roi de Hongrie Sigismund de Luxembourg a fait don du domaine Bontida à la famille Banffy, celle-ci décida en 1437 de la construction d'un château de style renaissance. Terminé en 1543, le château fut ensuite reconstruit par l'héritier du domaine, Dionisie Banffy II, au XVIIIème siècle. L'édifice adopta alors un style baroque autrichien selon les plans de l'architecte viennois Joseph Emanuel Fischer Von Erlach. L'héritier suivant, Jozsef Banffy apporta lui aussi son lot de modifications en réorientant le style du parc entourant le château vers une vision plus romantique.
Au cours de la seconde guerre mondiale, le château fut récupéré puis en partie détruit par les troupes allemandes et la famille Banffy fut chassée du domaine. L'arrivée du communisme ne change rien au sort de ce joyau architectural puisqu'aucune restauration ne fut engagée jusqu'en 1989.
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La ville de Alba Iulia est une ville de Transylvanie d'un peu plus de 60 000 habitants située sur l'axe Cluj-Napoca- Sibiu. Aujourd'hui Alba Iulia est une ville secondaire de Transylvanie, pourtant, elle fut longtemps la capitale politique et religieuse de la région. La ville se trouve à proximité des Monts Apuseni, des montagnes parmi les plus sauvages de Roumanie.
La cité serait l'une des plus anciennes de Roumanie, créée avant même l'arrivée des romains au début du 2nd siècle. Son influence grandit dès le 11ème siècle puisqu'elle est le siège des premiers archevêchés et au 16ème siècle, période où elle devient la capitale de la Transylvanie, alors sous domination autrichienne. Elle conserva ce statut entre 1542 et 1690, période à laquelle fut construit la Palais des Princes.
Malgré le déclin progressif de la ville, elle fut le théâtre de divers événements de la vie politique roumaine. C'est par exemple ici que l'Etat roumain, par l'unification de la Transylvanie, du Banat et de la terre roumaine, fut créé le 1er décembre 1918. C'est aussi dans l'Eglise du Couronnement que le roi Ferdinand I et la reine Marie reçurent leur titre en 1922.
La citadelle de type Vauban Alba Carolina (Blanche Caroline), au centre de la ville, concentre la plupart des monuments historiques de la ville. Edifiée par l'Empire Habsbourg sur la Colline de la Citadelle pour protéger la ville contre l'Empire Ottoman, est particulièrement bien conservée et influence largement l'organisation de la cité de par sa forme.
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Cette cathédrale est souvent considérée comme l'édifice d'architecture roman ayant le plus de valeur en Transylvanie et certainement dans l'entière Roumanie. La construction de l'actuelle église démarra en 1246 et s'acheva en 1291, au préalable une autre cathédrale avait été construite dès l'an 1009 mais elle fut détruite durant l'invasion tatare de 1242.
La Cathédrale Saint-Michel a servi de siège à l'Archevêque de Transylvanie ainsi qu'à l'Archidiocèse Romano-Catholique. Dans la nef latérale se trouve le sarcophage de Ioan de Hunedoara, ancien gouverneur hongrois ainsi que celui de son fils Ladislau.
Cet édifice, d'une hauteure de 62 mètres domine la citadelle Alba et en est le principal monument historique.
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Avant d'arriver à Sibiu vous pouvez faire un détour pour voir le Château de Hunedoara qui est le plus grand château de Roumanie ainsi qu'un des plus importants monuments d'architecture gothique du sud-est de l'Europe. Il est ainsi devenu naturellement l'un des symboles du tourisme en Roumanie.
C'est sur les fondations d'une précédente construction bâtie au XIVème que Iancu de Hunedoara décida en 1440 de la construction de ce château qui prit le nom de sa lignée (il était aussi appelé Ioan Corvin en roumain). Cet homme politique transylvain fut dirigeant du comté de Severin entre 1439 et 1446, voïvode de Transylvanie de 1441 à 1446 et régent du Royaume de Hongrie de 1446 à 1452. Il est connu pour sa résistance face aux troupes ottomanes.
C'est donc lorsqu'il dirigeait le Comté de Severin (équivalent au Banat et à l'Olténie actuelle) que Iancu de Hunedoara lança la construction de ce château. Malgré la mort de son créateur en 1456, le Château de Hunedoara continuera de s'agrandir durant les siècles suivants grâce aux travaux entrepris par les successeurs du voïvode que sont Matei Corvin ou Gabriel Bethlen.
Aujourd'hui, l'édifice est particulièrement imposant, on y accède par un pont en bois surplombant la rivière dans un décor de cinéma.
Cette construction impressionnante est composée de divers bastions et tours ainsi que de larges murs protégeant l'enceinte. Au centre du bâtiment se trouve un donjon qui surveille l'ensemble de 7000m² que compte le château.
Le château de Hunedoara est chargé de légendes. La plus connue concerne trois prisonniers turcs à qui Iancu de Hunedoara aurait promis la liberté s'ils creusaient le sol assez profondément pour y trouver de l'eau. Après 15 années de labeur, les trois détenus trouvèrent finalement le bien tant espéré à 28 mètres de profondeur! Mais, entre temps, Iancu de Hunedoara était décédé et sa femme Elisabeta décida de ne pas respecter la promesse de son défunt mari. Avant d'être abbatus, les turcs écrivirent sur un mur du château ''vous avez de l'eau mais vous n'avez pas d'âme''. Des recherches montrèrent en revanche que c'est Hassan, un esclave travaillant près du château à cette époque, qui aurait écrit ces mots.
Une seconde légende, en lien avec le symbole du château (un corbeau tenant un anneau en or), voudrait que Iancu de Hunedoara soit le fils illégitime du roi Sigismund de Luxembourg. Celui-ci aurait donné à son fils un anneau en or qui lui fut dérobé par un corbeau. Mais le futur voïvode réussit à abatre l'animal et à récupérer son bien.
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Vous arriverez finalement à Sibiu où vous attend une très belle promenade dans le centre-ville restauré il y a une dizaine d'année à l'occasion de la nomination de Sibiu comme ''Capitale européenne de la culture 2007''.
La ville de Sibiu est une des principales villes de Transylvanie (conjointement avec Brasov et Cluj-Napoca). D'origine saxonne elle fut fondée par ce peuple au cours du 12ème siècle. Des fortifications furent construites plus tard suite à une invasion des Tatars qui détruisirent la ville et décidèrent ainsi les autorités locales à se prémunir d'une nouvelle invasion. La ville connut par la suite un fort embellissement culturel et économique du à sa situation géographique: Sibiu est un carrefour entre les routes entre la Valachie et la Transylvanie ainsi qu'entre Brasov et la Hongrie.
Durant la période communiste, Sibiu ne fut que très peu touchée par les goûts architecturaux de Ceaușescu du fait de son isolement géographique par rapport à la capitale (l'axe de communication entre Bucarest et Sibiu est la vallée de l'Olt, celle-ci n'accueille aucune installations ferroviaires). Du fait de la richesse de son patrimoine architectural et de sa conservation, Sibiu fut désignée en 2007 Capitale Européene de la Culture, année où la Roumanie est entrée dans l'Union Européene. Ce statut constitue un tournant dans l'histoire de la cité puisque de nombreuses rénovations ont été réalisées à cette époque pour embellir la ville et le développement d'événements culturels est encore aujourd'hui perceptible.
L'ambiance à Sibiu ressemble à celle d'une ville d'Allemagne méridionnale, grâce à son isolement et à l'attachement des saxons à leur lieu de vie la ville a pu conserver son essence initiale.
Dans le centre-historique et à ses abords, il est particulièrement agréable de se promener dans les rues commerçantes serpentant entre les divers monuments historiques. Les principaux sites d'intérêts se situent autour de la Grande Place (Piata Mare): la Petite Place (Piata Mica), la Place Huet, le Pont des Mensonges et le Musée Brukenthal. Plus au sud se trouvent des restes des fortifications qui entouraient la ville et, sur la route menant à la région de Marginimea Sibiului, le Musée Astra, un musée ethnographique en extérieur présentant les différents types de constructions de la région.
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La réserve de Rapa Rosie est un site comparable aux ocres de Provence tant par sa formation que par son aspect.
C'est sur le plateau des Secaș (Podisul Secaselor) que s'est formée cette curiosité naturelle. A cet endroit précis, le plateau est constitué en grande partie d'argile et de cendres dont la résistance à l'érosion est particulièrement faible. Au fil du temps, l'eau a creusé le plateau et continue chaque jour de l'éroder par les torrents qui se forment suite aux fortes intempéries. L'érosion a de ce fait creusé la paroi pour laisser apparaître des colonnes d'argile et des demoiselles coiffées de plusieurs dizaines de mètres de haut. Ce site naturel est unique en Roumanie et offre des couleurs splendides le soir, lorsque la couleur de l'argile est magnifiée par les derniers rayons du soleil.
Cet édifice fut construit au 18ème siècle sous les ordres du baron Samuel von Bruckenthal dans une style baroque. Construit pour devenir la résidence du baron, il se situe sur la partie ouest de la Grande Place et est inclu sur la liste des monuments historiques.
Le baron ayant été un grand amateur d'art européen ou roumain, un musée a été installé dans le Palais présentant ainsi les pièces qu'il collectionnaient.
Le musée propose plusieurs salles et expositions regroupant par thématiques les collections du baron.
Depuis le saccage de la ville par les Tatars en 1241, Sibiu n'a cessé de renforcer son système défensif jusqu'aux 15ème siècle. A cette époque les murs de fortifications englobaient une grande partie du centre-ville actuel, faisant ainsi de Sibiu la ville la mieux fortifiée de Transylvanie avec une superficie fortifiée égale à celle de la ville de Vienne. Le premier mur d'enceinte englobait uniquement l'actuelle place Huet tandis que les suivants englobèrent successivement la Petite Place, l'ensemble de la ville haute et enfin la ville basse à proximité de la rivière Cibin.
Désormais les restes les plus visibles de ces fortifications se trouvent au Parc de la Citadelle (Parcul Cetatii) au sud de la ville. On peut y voir des tours de l'ancienne citadelle (qui en comptait à l'époque 39) chacune étant rattachée à un corps de métier (tisserands, potiers, charpentiers) qui avait à sa charge une partie de la défense de la ville.
Cette journée sera l'occasion de découvrir la ville médiévale de Sibiu avant de prendre la route de Bucarest. Si vous en avez le temps, vous pourrez aussi vous arrêter à Horezu ou à Curtea de Arges.
Mentionnée pour la première fois en 1411, la Grande Place de Sibiu est depuis le 16ème le coeur historique et un endroit incontournable de la ville. A l'époque médiévale cette place devient le principal lieu social de Sibiu, elle est le théâtre de différents événements de la vie quotidienne de l'époque comme les assemblées publiques mais aussi les exécutions. Sur cette place a aussi été installé une ''cage aux fous'' entre 1724 et 1757 où étaient enfermés les pertubateurs nocturnes.
Cette place, longue de 142m et d'une largeur de 93m, a connu de nombreuses modifications durant les travaux de rénovation du centre-ville avant 2007. Le résultat de ces travaux est particulièrement agréable, la place est redevenue un lieu de sociabilisation aux beaux jours comme l'hiver lorsque la municipalité installe le marché de Noël.
D'un point de vue architectural, cette place, dont tout les monuments environnants sont classés ''monuments historiques'', est une invitation à la flânerie dans les rues piétonnes.
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La Transylvanie est une terre de contes et légendes comme en atteste le Pont des Mensonges.
Le Pont des Mensonges fut construit en 1859 pour faciliter le passage des charettes et des piétons entre la Petite Place et la Place Huet au-dessus d'un passage d'entrée dans la ville-haute. Ce passage était antiéreurement un tunnel permettant l'accès à la citadelle de Sibiu.
Ce pont fut le 3ème pont en fonte construit en Roumanie et il est surtout le dernier à être utilisé.
Cette construction, malgré un intérêt architectural relatif, est l'un des éléments marquants de la ville du fait des légendes qui y sont rattachées. La plus répandue est que le pont aurait des réactions étranges lorsque quelqu'un ment en le traversant, la passerelle se mettrait alors à trembler, donnant l'impression de s'écrouler pour finalement faire tomber au sol le menteur. Une autre légende prétend que ce pont fut un lieu de rencontre entre les militaires et les demoiselles de Sibiu; pour parvenir à leurs fins les soldats juraient alors amour et fidélité à leur conquête pour ne finalement jamais revenir dans la ville. D'autres légendes racontent encore que le nom de l'édifice est lié au comportement peu scrupuleux de certains marchands qui mentaient à leurs clients pour obtenir le meilleur prix de leur marchandise.
La raison la plus probable serait, une fois n'est pas coutume, une erreur de traduction. A sa construction, la forme du pont intriguait, ne possédant pas de pilone de soutient il fut dénommé ''podul culcat'' (en roumain: le pont couché) par les locaux. Or en dialecte saxon le terme de ''culcat'' signifie à la fois ''couché'' mais aussi ''mensonge''... Cette erreur subtile de traduction aura donc permis aux locaux de fantasmer sur l'histoire de ce pont.
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La Place Huet est la place la plus secrète du centre-ville de Sibiu.
La Place Huet s'est formée à partir du tracé du premier mur d'enceinte de l'ancienne citadelle lorsque celle-ci a perdu son caractère défensif. L'ensemble des édifices entourant la place sont classés au registre des monuments historiques comme le lycée Brukenthal ou la Tour des escaliers.
Sur la place se trouve la Cathédrale évangélique de Sibiu. Avec ses 73m de hauteur elle est considérée comme l'une des plus impressionantes églises gothiques de Transylvanie. Cette église construite en 1520 (après avoir été commencée en 1321) a la particularité d'avoir été le lieu où Mihnea Cel Rau (Mihnea le Mauvais, fils de Vlad Tepes) a été assassiné.
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Depuis le saccage de la ville par les Tatars en 1241, Sibiu n'a cessé de renforcer son système défensif jusqu'aux 15ème siècle. A cette époque les murs de fortifications englobaient une grande partie du centre-ville actuel, faisant ainsi de Sibiu la ville la mieux fortifiée de Transylvanie avec une superficie fortifiée égale à celle de la ville de Vienne. Le premier mur d'enceinte englobait uniquement l'actuelle place Huet tandis que les suivants englobèrent successivement la Petite Place, l'ensemble de la ville haute et enfin la ville basse à proximité de la rivière Cibin.
Désormais les restes les plus visibles de ces fortifications se trouvent au Parc de la Citadelle (Parcul Cetatii) au sud de la ville. On peut y voir des tours de l'ancienne citadelle (qui en comptait à l'époque 39) chacune étant rattachée à un corps de métier (tisserands, potiers, charpentiers) qui avait à sa charge une partie de la défense de la ville.
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Le retour à Bucarest se fera par le vallée de l'Olt qui traverse les Carpates jusqu') Ramnicu Valcea.
La Vallée de l'Olt est le plus long défilé de Roumanie avec 47 kilomètres entre les localités de Turnu Rosu et Cozia. La rivière Olt, qui prend sa source dans les Monts Hasmas Mare (Carpates Orientales au nord de Miercurea Ciuc) a creusé cette vallée entre les Monts Cozia (à l'ouest) et les Monts Fagaras (à l'est). L'Olt, qui se jette dans le Danube bien plus au sud à la frontière bulgare, a donné son nom à la région historique d'Olténie, au sud-ouest de la Roumanie, qu'elle traverse du nord au sud.
La Vallée de l'Olt est un point de passage stratégique puisque c'est une des seules voies reliant la Transylvanie à la Valachie. Les Monts Cozia, qui surplombent l'Olt, offrent un panorama sur les méandres tracées par la rivière au fil des kilomètres.
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L'Arc de Triomphe est l'un des plus forts symboles du Micul Paris, le Petit Paris.
Construit durant les années 1920-30 pour commémorer la victoire de la Roumanie dans la 1ère guerre mondiale, cet édifice a remplacé des arcs de triomphe temporaires honnorant par exemple la libération du joug ottoman.
Ce monument se trouve au nord de la capitale, on peut l'observer depuis la Sosea Kiseleff et du Parc Herastrau.
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Le quartier Lipscani est le centre historique de la ville et son plus vieux quartier. C'est ici que l'on retrouve la plupart des monuments historiques de la cité. Construit à partir de 1459 sous les ordres de Vlad Dracul, qui s'était installé à la vieille cour (Curtea Veche), le quartier accueillait de nombreuses foires auxquelles participaient des commerçants hongrois et saxons.
Depuis les années 2000 le quartier est en constante mutation, il est de plus en plus animé et les immeubles vetustes sont en grande partie rénovés. C'est le coeur culturel et festif de Bucarest, on y retrouve de nombreux bars, des discothèques ainsi que des théâtres et des restaurants de charme.
Les principaux monuments du quartier sont l'église St Dumitru, la cathédrale russe, la vieille cour, Hanul lui Manuc, le musée national d'histoire ou encore le restaurant Caru cu Bere.
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Cet édifice fut construit au 18ème siècle sous les ordres du baron Samuel von Bruckenthal dans une style baroque. Construit pour devenir la résidence du baron, il se situe sur la partie ouest de la Grande Place et est inclu sur la liste des monuments historiques.
Le baron ayant été un grand amateur d'art européen ou roumain, un musée a été installé dans le Palais présentant ainsi les pièces qu'il collectionnaient.
Le musée propose plusieurs salles et expositions regroupant par thématiques les collections du baron.
Ce musée fait partie de la grande famille des musées ethnographiques créés en Europe Centrale et de l'Est au cours du 20ème siècle. Si ce type de musée comporte un intérêt indéniable d'un point de vue ethnograhique, il est aussi important de garder à l'esprit que ces collections ont été mise en place dans un contexte de renforcement de l'identité nationale par les gouvernements de l'époque.
Le musée Astra est donc un musée ethnographique en extérieur proposant une promenade dans un parc de 96 hectares au milieu duquel est installé un lac. C'est l'occasion d'une visite culturelle détendue dans un environnement naturel très bien aménagé. Dans l'ensemble de ce musée, ouvert au public en 1967, vous découvrirez environ 300 constructions: des maisons, des ateliers d'artisans, des moulins et surtout, notre coup de coeur, un bowling paysan! L'ensemble de ces constructions ont été démontées dans divers village de la région pour être reconstruites au musée, elles sont désormais classées ''Monuments historiques''.
La commune de Horezu se situe dans le département de Valcea entre les villes de Ramnicu Valcea et Targu Jiu. Ce village est le principal centre de céramique du pays, il attire de nombreux touristes roumains comme étrangers. La céramique d'Horezu, art multimillénaire, a été consacré en 2012 par une inscriptionà la liste du patrimoine mondiale immatériel de l'Unesco.
Ici l'art de la poterie est transmis de père en fils dans les familles de potiers qui ont perpétué les techniques de la transformation de l’argile. Les principaux symboles utilisés dans l’ornementation de la céramique de Horezu sont inspirés de la flore et faune : le coq de Horezu, le sapin, le serpent, les perce‐neige, l’arbre de la vie.
L’argile utilisée est unique et se trouve seulement sur la colline Ulmet, près d’ Horezu. Ici on peut voir les plus grands maîtres potiers de la région travailler l'argile, le modeler, et l'orner des symboles locaux toute, l'année.
Parmis les 27 familles de potiers de la ville chacune d'entre elles proposent une visite de leur atelier aux touristes et mettent leurs produits à la vente.
Le monastère d'Horezu, bâti entre 1690 et 1693 est une oeuvre du seigneur des Terres Roumaines Constantin Brancoveanu (1654 -1714). Les roumains doivent à ce seigneur le style ''Brancovenesc'' dont le monastère d'Horezu est l'un des meilleurs exemples.
Le monastère était un projet révolutionnaire à l'époque puisqu'il respecte les règles de symétries typiques de la renaissance italienne jusque dans les moindres détails.
Du fait de la valeur de son patrimoine architectural, le monastère a d'ailleurs été consacré par une inscription à la liste de monuments protégés par l'Unesco.
L'ensemble du monastère constitue le plus vaste ensemble d'architecture médiévale ds Terres Roumaines; on y retrouve ainsi l'église du monastère à proprement dite, l'église bolnitei (fondée par la femme de Brancoveanu) et plusieurs ermitages.
Cette petite ville du département de l'Argeș (dont la capitale est Pitesti) fut autrefois la capitale de l'Etat valaque à partir du 14ème siècle après que ce siège administratif ait été déplacé de Campulung. La dénomination actuelle (Cour de l'Arges) vient donc du fait que la cour royale de l'Etat Valaque s'y était installée (la ville était au préalable nommée ''Arges'' du nom de la rivière).
De cette période, Curtea de Arges a conservé de nombreux monuments construits en l'honneur des voïvodes de la Țara Românească (Terre Roumaine) comme l'église du monastère ou l'église Saint-Nicolas.
Le monastère de Curtea de Arges fut construit à la demande de Neagoe Basarab (voïvode de Valachie) entre 1512 et 1517. Le riche ornement de l'église fut lui terminé en 1526 au temps de Radu de Afumati. Neagoe Basarab, homme orgueilleux souhaitait que son église soit incomparable sur les terres roumaines.
L'influence architecturale de cette église se trouve en orient, c'est ce qui rend cet édifice religieux aussi particulier en Roumanie. Les fresques interieures dorées sont relativement récente puisqu'elles sont venues remplacer les anciennes, pour la plupart au musée d'Art de Bucarest, suite à un tremblement de terre au 19ème siècle.
Aussi, le Pronaos de l'église est devenu le lieu de repos éternel des membres de la famille royale; ici reposent Neagoe Basarab, Carol Ier ou encore le roi Ferdinand I.
Cette église royale se situe dans l'ancienne cour des voïvodes valaques, dont il ne reste quasiment que des ruines. Construite sous les ordres de Basarab I, elle a été terminée en 1352 et jouïe d'un très bon état de conservation. L'élément le plus intéressant de la visite se trouve à l'intérieur de l'édifice: les plus anciennes fresques encore visibles de Roumanie (réalisées entre 1364 et 1366). A l'origine de sa construction cette église, bâtie selon un plan en forme de croix grecque, devait être la nécropole princière de Valachie.
La rare représentation de Marie enceinte éveillera certainement la curiosité des visiteurs.
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La place de l'Union (Piața Unirii) se situe en face du Palais du Parlement et est prolongée par le boulevard Unirii, le plus grand boulevard de la ville. Ces constructions urbaines, tout comme le Palais du Parlement, impressionnent par leur taille et sont le résultat de la volonté du pouvoir communiste de reconstruire le centre-ville après le tremblement de terre de 1977. Ainsi, Nicolae Ceausescu, après des voyages réalisés en Chine et en Corée du Nord durant les années 1970, s'inspira largement des modèles architecturaux communistes asiatiques.
D'une longueur de 3.5 km, le boulevard de l'Union a nottament été réalisé dans l'objectif de dépasser la taille des Champs-Elysées parisiens. Ce boulevard portait à l'origine le nom de Boulevard de la Victoire du Communisme.
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Sur les rives du Danube de Tulcea dans le centre-ville, le Delta 4 Hotel propose un accès gratuit à une piscine intérieure et un spa et centre de bien-être avec un sauna, un bain à remous et une salle de sport. Toutes les chambres donnant sur le port d'où partent les bateaux dans le Delta.
Le Delta 4 se trouve à proximité de la gare principale, les gares routière, musées et autres des institutions. De nombreux bars et des cafés se trouvent également dans les environs.
Le restaurant dispose d'une terrasse d'été et sert une cuisine roumaine et internationale et d'un restaurant servant des spécialités de poissons d'eau douce, dans une ambiance intime et confortable. Un impressionnant choix de vins roumains d'un assortiment de l'année et le personnel fera vivre une expérience culinaire unique.
Le Delta Bar est célèbre pour son atmosphère chaleureuse et confortable, un endroit idéal pour se détendre en sirotant un cocktail favori.
Des excursions en bateau dans le delta du Danube peuvent être organisées sur demande.
Sur les rives du Danube de Tulcea dans le centre-ville, le Delta 4 Hotel propose un accès gratuit à une piscine intérieure et un spa et centre de bien-être avec un sauna, un bain à remous et une salle de sport. Toutes les chambres donnant sur le port d'où partent les bateaux dans le Delta.
Le Delta 4 se trouve à proximité de la gare principale, les gares routière, musées et autres des institutions. De nombreux bars et des cafés se trouvent également dans les environs.
Le restaurant dispose d'une terrasse d'été et sert une cuisine roumaine et internationale et d'un restaurant servant des spécialités de poissons d'eau douce, dans une ambiance intime et confortable. Un impressionnant choix de vins roumains d'un assortiment de l'année et le personnel fera vivre une expérience culinaire unique.
Le Delta Bar est célèbre pour son atmosphère chaleureuse et confortable, un endroit idéal pour se détendre en sirotant un cocktail favori.
Des excursions en bateau dans le delta du Danube peuvent être organisées sur demande.
Situé au pied de la montagne Tâmpa, le Belfort Hotel bénéficie d'un emplacement central dans un quartier tranquille de Brasov, à seulement 5 minutes à pied de la principale rue piétonne.
Les chambres modernes donnent sur la montagne ou offrent une vue panoramique sur la ville.
Un service de concierge et des salles de réunion sont mis à votre disposition. Vous pourrez également stationner votre véhicule sur place, sans supplément et sous réserve de disponibilité.
Depuis la salle de petit-déjeuner, vous pouvez admirer la vue dégagée sur les environs. Un parking gratuit est proposé sous réserve de disponibilité.